Mon palmares 2010

Publié le 08 octobre 2010 par Jeanmi64

Alors que s’achève la temporada, je vous livre ce qui m’a donné le plus de plaisir et d’émotion cette année.

Palmarès très subjectif bien sûr, puisqu’il correspond à mes goûts, et limité aux seules corridas auxquelles j’ ai assisté !

Meilleur torero : El Juli bien sûr et loin devant!

Pour ses prestations à Barcelone, Pampelune, Bilbao, Bayonne, Dax. – Et encore je n’ai vu que les images de tous les autres succès, Valence, Séville, Nîmes   etc…

Mention spéciale à Manzanares, mais on reste sur sa faim après sa fin de temporada sur blessure

Meilleur lots de toro : Les Fuente Ymbro de Pampelune

Meilleur toro : “Caquirri” de Fuente Ymbro à Pampelune, dont malheureusement Ferreira n’a pas su tirer le meilleur

Meilleur novillero :  je n’en ai pas ! Aucun ne m’a vraiment enthousiasmé cette année. Reste la novillada de Bilbao du 16 octobre pour me faire changer d’avis.

Meilleur novillero sans picador : Fernando Adrian, sans aucun doute ! A revoir à Bayonne le 24 octobre.

Coup de coeur de l’ année : Curro Diaz…..que j’ai ainsi découvert vraiment, à sa 11ème année d’alternative. Pour Séville, Pampelune, Eauze. Et je n’ai vu qu’ en images ses 2 prestations madrilènes – 1 oreille à chaque fois et prix de la meilleure estocade- et nimoises !

Et aussi les arènes de Séville, où, malgré le faible résultat cette année, on y sent toujours un parfum de je ne sais quoi, si belles au bord du Guadalquivir, mais aussi les arènes de Bilbao, où le sable n’est pas si noir, mais où c’est l’endroit où l’on peut voir des toros aux présentations aussi impressionnantes et des figurasen face !

Et au chapître du négatif, en vrac, la dégringolade d"’ El Fundi, les toros de Zalduendo, les toros de Victorino à Vic, le public du soleil de Pampelune dont certains tournent même le dos à la piste !, les intégristes qui n’admettent pas ceux qui n’ ont pas exactement les mêmes gouts et vous le font sentir à coup d’injures, les anticorridas braillards et souvent anglo-saxons devant certaines arènes. Et bien sûr, aussi, Barcelone qui va sans doute disparaître du monde taurin, première arène où j’avais assisté à ne corrida.