Depuis, la scission des années 70, il existe 2 partis Radicaux, l’un ancré à gauche, l’autre ancré au centre droit, et en ce moment,i l pactise même avec la
droite dure UMP.
2 partis, pour une histoire
L’un détient la légalité juridique, l’autre le véritable héritage historique.
Le Parti radical valoisien revendique son héritage historique, sur son site c’est une véritable contorsion historique que nous pouvons découvrir.
Comment parler du Front Populaire ?
les Radicaux UMPISTES ont dû se creuser la cervelle. En effet, le parti radical est membre d'un mouvement qui casse l’héritage de
36 et philosophiquement à une haine vicérale contre le Front populaire.
Sans revendiquer l’héritage de 36, ces braves Radicaux se bornent à nous fournir une page aseptisée qui ne fâche personne.
« 1936 : Dans la fièvre du Front Populaire, un projet de grande réforme scolaire
Face aux menaces factieuses, le Parti Radical adhère au Front Populaire en vue des élections de mai 1936. Celles-ci marquent un net recul des radicaux face à la
SFIO.
Pourtant, les radicaux comme Daladier, Chautemps et Zay obtiennent des portefeuilles importants.
Au Ministère de l’Education Nationale, Jean Zay engage en 1937 une réforme majeure de l’enseignement.
Son objectif : démocratiser le système scolaire en introduisant des méthodes résolument modernes.
> Jean Zay,
à la source des réformes de l'éducation »
On oublie volontairement dans ces lignes que le Parti Radical a cautionné les 40 h, les congés payés, les nationalisations, les conventions
collectives….
On cite Jean Zay, c’est une insulte pour ce grand serviteur de l’Etat sincèrement de gauche qui a défendu l’école publique. Cette école publique que l’UMP démonte
pièce à pièce !
Que disent les Borloo, les Gérard Trémège et compagnie contre ça ? Rien. !
Gérard Trémège le petit sarkozy local est en effet radical, le temps de la dernière élection, pour faire oublier son adhésion UMP !
Le parti valoisien est une vaste escroquerie intellectuelle peuplée de faux-culs d'une droite réactionnaire.