C’est sans doute ce peuple, les Dyalos, qui est au centre de ce livre, le personnage dirait-on de cette œuvre. Un peuple dont le nom a été formé sur la racine dyal, qui fait référence à la cérémonie de la plantation du riz. Tout un rite, cette plantation du riz. Le village s’y prépare au long de l’année, les codes sont compliqués, matériau riche qui avait fasciné l’anthropologue Martiya. Et si le crime avait été fomenté au nom du respect attaché à cette tradition ?
Tous les ingrédients du page-turner sont là.
Albin Michel. Mars 2010.
Traduit de l’américain par Francis Geffard ( Photo D.R)