Éloge de la flânerie

Publié le 07 octobre 2010 par Les Lettres Françaises
À la différence du manuel, à vocation plus technique et volontiers scolaire, le bréviaire, tout aussi maniable, garde de ses origines religieuses l’ambition de dispenser un enseignement qui touche aux questions ultimes. Au moment d’aborder les quinze chapitres qui composent la première moitié de cet ensemble appelé à compter trente textes suivis d’un finale, le lecteur fera bien de garder en tête cette distinction, de peur de prendre ce volume pour ce qu’il n’est pas...Par Jacques-Olivier Bégot Continuer la lecture