D’un grand geste dernière flamme
Il a chassé cette beauté
Qui l’orientait
L’été latent fini
Grise naissance au ciel flottant
De fleurs surprises par la nuit
Par l’affreuse mort de la terre
Comme une porte qui s’abat
Entre deux prisons éternelles
Sa tête sombre entre ses mains.
(Paul Eluard)