Délivre moi de ces absurdes souffrances,
Les douleurs du passé pèsent mon corps à constance,
La loi du corps qui se rebelle,
Afin que sur lui, on veille,
Tu égaies mes yeux brumeux,
Où la vie nous donne des moments heureux
Jamais satisfait du peu,
On ignore que l'on se mutile honteux,
Ta musique chasse mes ombres,
Noyés sur le papier à l'encre sombre,
Un peu de douceur dans cette pénombre,
Tous ces maux quelque peu s'effondrent,
TAI CHI – tu sais que mon âme réagit,
Nature merveilleuse, embellit,
Mon coeur devant jamais surpris,
Libère son excès en sursis,
Accordant beaucoup d'importance à ton énergie,
Doucement, espiègle, je réagis,
Emporte mes douleurs dans une autre vie,
Où simplement je profite de ce que je suis,