Je ne sais pas comment vous gérez votre blog si vous en avez un ; des billets écrits au jour le jour, des posts préparés bien à l’avance un jour de pluie ou bien des sujets jetés rapidement dans la marge d’un cahier ; en général c’est un peu comme ça que je m’organise, quelques mots jetés à l’intérieur de mon fidèle carnet de notes ;
maroquinier au Sénégal
fait sur mesure au Sénégal, il ne supporte que les recharges d’un très grand faiseur, sellier de profession ; sur le papier, d’une finesse exquise, mon critérium glisse parfaitement et je parviens presque à écrire correctement ; avec des lettres lisibles dans un semblant d’écriture cursive ; mais en ce moment le temps qui file à toute allure ne favorise pas vraiment cette discipline pourtant toute simple ;
cependant, la qualité de mon quotidien avec des moments extraordinaires et une actualité passionnante devrait me donner des ailes pour écrire, décrire et raconter ; un été très doux dans cette fameuse maison des vignes ou les premiers ceps sont à à moins d’une encablure et ou les matins bénéficient d’une limpidité exceptionnelle ;
de belles expériences culinaires aussi que je compte bien vous détailler un jour prochain ;
un départ qui se fait proche vers l’Océan Indien avec des gens différents et une nature différente ; un style de vie peut-être plus riche de contraste ; une maison en bord de mer, des langoustes que la population locale dédaigne, l’eau distribuée par des porteurs, un nouveau cadre de vie à organiser car au final peu de meubles de Dakar ont suivi notre périple ;
mon arrivée sera concomitante avec la venue de la saison des pluies… serait-ce un présage ?
alors, pour me faire pardonner mon absence, où disons mon silence et en même temps bien débuter cette sixième année, je vous propose une balade de fin d’été :
[Diaporama]