Mais compte non tenu précisément des nombreuses zones d’ombre et incohérences de l’affaire.
Sans doute les trois juges prétendront-ils que leur pouvoir de cognition était restreint à l’arbitraire dans les constatations de fait et dans les conséquences judiciaires tirées.
Une façon comme une autre de se laver les mains dans une affaire ou l’un des morts au moins ne l’est peut-être pas.
Par leur belle unanimité, les trois juges en question rejoignent le camp des magistrats judiciaires vaudois sûrs à 100 % présidé par un certain procureur.
Ils ont de la chance d’avoir une telle foi. Légeret moins.
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