Pour la seconde fois (la première était en juillet), le Premier ministre reconnaît que le rabotage des niches fiscales est une augmentation d’impôts, et non une baisse de la « dépense fiscale » (sic) comme on le présente d’ordinaire à Bercy.
Pour la seconde fois (la première était en juillet), le Premier ministre reconnaît que le rabotage des niches fiscales est une augmentation d’impôts, et non une baisse de la « dépense fiscale » (sic) comme on le présente d’ordinaire à Bercy.