C’est un régal. L’écriture est vivante, sautillante, toujours des contre-pieds, des images plus vraies que nature. J’ai adoré le ton de l’écriture de la page 6 à 60. Toute cette partie coule naturellement et on s’en délecte. Et puis les « écrits d’un collègue de Gavial »... Super, mais la rupture de ton brise un peu l’envie de voir l’aboutissement de l’insecte. Peut être en insérer moins (ou même en faire un livre tout entier ! ) Et l’envie de savoir reprend avec la cinquième partie jusqu’à la fin. Je pense que l’écriture se livre et se fluidifie. C’est très agréable à lire et bien plus encore.