Edito politique n°125 . de Raffarin à Fillon, Hollande, Gollnisch

Publié le 04 octobre 2010 par Flash-News

L’actualité de la semaine sous tous les angles …

Politique

Le duel de la semaine

Chirac – Raffarin / Sarkozy – Fillon

Jean-Pierre Raffarin, sénateur et ancien premier ministre, se démarque du premier ministre en place François Fillon

Dans une interview à Libération (édition abonnés) il trouve que François Fillon n'a pas fait :

Le même métier que lui à Matignon.

Il est clair qu’entre le duo Chirac – Raffarin et le duo Sarkozy – Fillon, ni le premier ministre, ni le président de la république n’ont fait le même exercice.

Le premier avait endossé les charges version Vième république, le second a endossé le costume d’une république où le premier ministre n’est plus le fusible des mécontents, ni le personnage auquel se réfèrent entièrement les ministres de son gouvernement.

Autre temps, autre mœurs, mais est-ce la meilleure démarche ?

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François Hollande n’arrive décidément pas à devenir un incontournable du PS, mais plus un personnage que les journalistes aiment interroger pour avoir une réaction sur tel ou tel sujet lancé par un autre.

François Hollande n’est t’il pas un peu à la remorque.

Un homme intelligent, mais une super « bourde » de 2007 en disant que les riches commençaient à partir du moment où une personne gagnait 4000 euros par mois, mettant ainsi Ségolène Royal dans une mauvaise position en tant que candidate à la présidentielle.

Alors va t’il réussir à rejoindre Manuel Vals dans la liste des outsiders à la primaire socialiste, les favoris étant à ce jour Aubry et DSK.

Mais en politique tout peut basculer très vite …

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Bruno Gollnisch dans une interview à France Soir au sujet du changement de présidence au FN :

Ce que je sais, c'est que la succession quasi monarchique qui se prépare ne plaît pas à tout le monde.

Le changement officiel risque de donner des batailles qui pourront faire du dégât au sein de la direction même de ce parti, et donner à certains l’envie de voler de leurs propres ailes.

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Comme d’habitude, mais c’est un feuilleton récurent les chiffres des manifestations de samedi varient de 899 000 à 2 900 000.

Ceci n’est pas très important car nous y sommes habitués, ce qui est plus inquiétant pour la mobilisation des énergies contre le projet des retraites, c’est qu’un samedi, jour de congé, un tel rassemblement, qui était à des chiffres équivalents en pleine semaine pour la précédente manif, n’est pas réussit en plein week-end à mobiliser 3 500 000 ou 4 000 000 de personnes.

Alors les syndicats ont ils remporté un pari, est-ce une stagnation, est-ce une lucarne pour le gouvernement de voir s’essouffler la rue ?

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Coup de gueule

On en a entendu parler dans les médias :

L'abrogation d'une ordonnance publiée par le préfet de police Dubois le 16 brumaire an IX (7 novembre 1800), sur l’interdiction faite aux femmes de porter … un pantalon.

Bien sur, personne n’y prête attention, mais ça amène à la question :

Comment peut-on alors que l’on nous vote des lois à foison, ne pas tout d’abord dépoussiérer les milliers de lois qui gèrent notre pays, le pantalon en est un bel exemple !

Au lieu de garder des textes archaïques, se faire devancer par nombres de pays sur l’évolution des mœurs et de la société, il serait intelligent de regarder vers l’avenir, plutôt que de rester dans le ronron confortable du conformisme !

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A la semaine prochaine …