Je vous présente ici une video intitulée “ Green is the color of money”. Sur un ton pour le moins iconoclaste, on y décrit une certaine trajectoire du mouvement écologiste, pointant du doigt la stratégie actuelle de recherche de compromis (sion? Selon la vidéo ?) de certaines grandes ONGE. Parmi les questions polémiques posées, il y notamment celle de savoir si certains leaders des grandes ONGE ne se servent pas de l’aura de ces dernières pour s’assurer une « belle » carrière, quitte à faire fi de leurs idéaux et de leurs engagements initiaux.
Faut-il en conclure pour autant avec cette vidéo que les Verts ont vendu leur âme ? L'environnementalisme pur et dur né dans les années 1970, le militant, le radical, est-il mort remplacé par de futiles "small and individual steps " ? Faut-il regretter que la grande révolution verte se fasse toujours attendre ? Si le vert est aujourd'hui devenu "mainstream", cela signifie t- il nécessairement compromission ?