Il y a un film dont j’ai vu la bande annonce cette semaine et qui me donne vraiment envie d’aller le voir au cinéma, c’est Monsters de Gareth Edwards. Prévu en France pour le 1er Décembre, il a déjà fait son petit effet au dernier Étrange Festival.
En voyant l’une des bandes annonces, on pense tout de suite à Disctrict 9, Cloverfield et la Guerre des Mondes. Mais celle-ci s’avère être réductrice, cherchant à séduire un public avide de sensations fortes et de gros poulpes (Au fait, quelqu’un aurait des nouvelles de Paul ?). Je vous conseille donc de regarder celle que j’ai placé à la fin de ce post.
Synopsis : Quand la NASA découvre l’éventualité d’une vie extra-terrestre dans notre système solaire, une sonde est envoyée afin de prélever des échantillons. Malheureusement, elle s’écrase au-dessus de l’Amérique centrale lors de son voyage de retour. Peu après, de nouvelles formes de vie apparaissent dans la zone du crash et la moitié du Mexique est mise en quarantaine, considérée comme une zone contaminée. Six ans plus tard, les armées américaines et mexicaines se battent encore pour maîtriser les «créatures»… L’histoire commence lorsqu’un journaliste des États-Unis accepte de raccompagner un touriste américain en état de choc, du secteur mexicain contaminé vers la zone sécurisée de la frontière américaine.
Une très bonne critique de ce film a été faite sur le site Filmosphère, en voici un extrait :
« Non Monsters n’est pas le nouveau District 9. Le seul point commun entre ces deux films est la présence des extraterrestres durablement installés sur Terre. Monsters est une véritable fable écologiste, un road-movie initiatique et et une métaphore cruelle sur la gestion des catastrophes naturelles par les gouvernements. C’est un film d’une beauté surprenante qui prouve qu’avec un budget ridicule et une équipe de passionnés, même un type issu des effets spéciaux peut se transformer en véritable réalisateur. Porté par des personnages forts, des images sublimes et des décors d’apocalypse, Monsters développe son message avec une justesse qu’on attendait pas. La SF minimaliste dévoile parfois de nouveaux talents, et le dernier en date à ne surtout pas perdre de vue se nomme Gareth Edwards. »