Il faut maîtriser un art extrêmement sophistiqué de la flatterie, de la manipulation indétectable.
Il n’y a pas meilleur entraînement que d’appartenir à une culture pour laquelle la flatterie est une seconde nature, c'est-à-dire venir du monde de la vente, du droit, ou de la politique, ou encore de la haute société.
Compléments :
- Que faut-il pour être patron ?
- Il y a quelques temps on parlait de « guerre des talents », et l’on disait qu’il fallait payer cher les meilleurs. Jusqu’ici je n’avais pas compris ce que l’on entendait par « talent ».
- En fait, ça n’a pas toujours été comme cela.