La forme d’abord. Un roman polyphonique qui intercale lettres, conversations rapportées et journal intime avec des passages de narration plus traditionnel. Et puis, l’histoire, sombre, touchante, originale, où chaque page à un petit goût de reviens-y.
Imaginez-vous à Paris, en 1975. Vous êtes éditrice, votre maman vient de mourir et parmi les lettres de condoléances que vous recevez, il y en a une qui ne colle pas, elle est anonyme et parle d’un homme et d’une femme que vous ne connaissez pas. Au début, naturellement, vous croyez à un auteur un peu plus futé que les autres…
J’étais prête à dire beaucoup de mal du premier roman de la fiancée d’un chanteur français bien connu et toujours aussi apétissant malgré les années mais impossible de bouder mon plaisir: Hélène Grémillon est une romancière de talent et je vous encourage vivement à la découvrir !
Un grand merci à Clara pour le prêt et à Keisha pour son billet tentateur.
La note de L'Ogresse:
Lu dans le cadre du challenge de la rentrée littéraire de Schlabaya