L’avantage du billet du 1er janvier, c’est qu’on a pas besoin de chercher le titre longtemps. Et après avoir courageusement combattu un virus particulièrement sournois (la semaine dernière), et testé le mélange château Ychem / Smecta, c’est tant mieux.
Quelques mots sur la récente inactivité de ce blog : ma petite bande passante ne suffit plus à absorber vos passages ici même, et mon hébergeur, dans un grand élan de solidarité, a décidé de tout couper. Et je n’avais pas franchement le temps de racheter un hébergement plus conséquent. Je m’en occupe après le 7 janvier, pour l’instant c’est un peu The Final Countdown jusqu’au dernier oral.
J’avoue que j’aurais bien eu un peu de temps, entre deux digestions ou dégustations de génépi (j’avais oublié que c’était aussi bon!), mais voilà, le gros bonhomme en rouge de chez Coca a déposé quelques livres au pied du sapin, qui méritaient une lecture attentive de ma part.
Déjà, pas très Xmas spirit, le remarquable livre Notre Combat
, de Linda Ellia (qui lui consacre un blog). Et oui, ça m’a plombé le moral autant que ce genre de projet peut le faire… A lire (à regarder, surtout).
Et puis bon, on ne se refait pas, il y avait un livre un peu plus proche de mes occupations habituelles. Un petit livre vert, paru chez Seuil (coll. Science ouverte), et écrit par Jean Deustch. Avec un titre qui m’a fait tomber raide dingue du bouquin dès le premier regard : Le vers qui prenant l’escargot comme taxi — et autres histoires naturelles
. Vraiment génial, ou histoire naturelle
est pris au sens grec du terme, et ou l’auteur se livre a de petites enquêtes. Un livre de vulgarisation d’une rare perfection, ou les sources vont de Nature aux Histoires comme ça
de Kipling.
Ah, et puis aussi, mais ça va intéresser nettement moins de monde, la famille (pardon, le genre) Lamellodiscus accueille encore une nouvelle espèce : L. theroni, en hommage à André Théron, directeur du CBETM.
Bref… bonne année à tous…