À 18 ans il quittait sa province, bien décidé ...... Y'a erreur. Non ce n'est pas la chanson. Bref notre brave breton arrive à la capitale, et il bosse, il bosse, il met de l'argent de côté, et enfin il peut acheter un tout petit pas de porte, et ouvrir "SA" boutique, sans patron, sans rien pour l'emm...... Une superbe petite boutique, bien arrangée, avec une belle enseigne .... Où il va vendre "prenez,et mangez, ceci est mon corps.... prenez et buvez, ceci est mon sang...." Bref vous voyez ce que je veux dire! La boutique de l'indispensable, la base incontournable pour tout français qui se respecte. On peut même déguster sur place ! Il suffit d'ouvrir pour voir affluer les clients... Mais voilà ! Dès le premier jours de drôles de personnes viennent chez lui, des lesbiennes entend-il dire et bien entendu les autres clients fuient. Mais pourquoi? Pourquoi chez lui? Il ne demande qu'à vendre son pain et son vin, merde alors !.
Mais la capitale n'a que faire de sa boutique, Tragique méprise due aux mots inscrits sur sa superbe enseigne: "BARA, GWIN". Phonétiquement, à Paris cela n'a rien à voir avec le pain et le vin.
Le jeune breton fait le point: ce mot pourrait-il venir de "allez bihan", ou bien de "lez bihan" ou même de " laezh bihan" ? Petite,allée se dit-il, il y a donc une grande allée ??? petite lisière! mais où se trouve la grande lisière alors??? Et du petite lait? Pourquoi ces charmantes dames boiraient-elle du petit lait?
Allez savoir !!!
"Ne cherches pas à comprendre , ça viendra " lui dit un de ses potes. " Mais tout de même restes méfiant car faudrait pas que tu prennes un coup de sabot". "Un coup de sabot?" répond-il les yeux écarquillés. "Ben oui, tu sais, elles boivent du vin chez toi, à la longue ça énerve......"
"Et après ?"
"Ben après les Gwin ru "
Allez ! Une 'tite devinette et je vous laisse jusqu'à demain pour
trouver la réponse:
"Comment appelle-t-on une jeune femme du pays bigouden qui fait le trottoir à Paris"
Réponse sur le premier message du Blog: "d'une trouvaille sur le net"