Discours de différents personnages dans la saison 7 :

Publié le 28 septembre 2010 par Sabrinaleo

Discours de différents personnages dans la saison 7 :


De Dan Scott :

Je suis resté assis dans le noir, seul, brisé, mon fils allait jouer son premier match à la NBA et moi j'étais assis tout seul dehors près du vieux terrain de basket à attendre la mort, on m'avait dit que je n'avais plus que quelques jours à vivre, c'était il y a 14 mois.

Ce n'est jamais facile de pardonner, c'est plus facile de haïr, d'en vouloir à quelqu'un mais pardonner ça c'est difficile parfois les gens disent des choses qui ne voulaient pas dire ou fait des choses qu'ils regrettent parfois aussi on n'aimerait pouvoir revenir en arrière alors on s'occupe l'esprit pour oublier la souffrance.

Tout le monde a peur de quelque chose, j'avais peur, j'allais mourir mais dans les offres du désespoir, j'ai appris quelque chose mes actions passées font toujours partie de moi mais je peux évoluer et changer mon avenir.

Ca fait presque 37 millions de secondes, 10 mille heures, 14 mois depuis que j'ai réalisé que mes actes passés ne définissent pas mon avenir.

Libérez-vous des erreurs que vous avez commises.

Tirez un trait dessus, votre cœur sera plus fort.

Je m'y connais.

Il y a bien longtemps que le mien aurait du me lâcher.

Ca ne veux pas dire que vos erreurs seront pardonnés.

Vos actions passées vont guettent, elles ne s'effaceront jamais.

De Nathan et Haley


Nathan :

Premièrement, je tiens à vous dire que j’aime ma femme et mon fils.

Je ne ferais jamais rien qui pourrait blesser les gens que j’aime. Je sais très bien que j’ai baissé dans l’estime de beaucoup de monde mais essayer de ne pas tenir aux apparences.

Je me suis mis un point d’honneur à ne jamais mentir et à assumer mes responsabilités.

Je suis quelqu’un sur qui on peut compter, quelqu’un à qui on peut faire confiance. Je veux que tout le monde sache la vérité, et la vérité c’est que je n’ai jamais couché avec cette femme.

Haley :

Tout ce que je peux vous dire, sais que je crois en mon mari et que je le soutiens à 100%.

Nathan :

Je compte faire tout ce qu’il faut pour montrer que ces allégations sont fausses, j’espère vite pouvoir tourner la page pour le bien de ma famille.

Je vous en remercie.

De Micro :

Nathan Scott est un jeune homme originaire de Tree Hill qui a su se relever de ses blessures et affronter l’adversité pour réaliser son rêve d’enfant : devenir joueur de basket-ball en NBA.

Mais dernièrement, la carrière de Nathan a été entachée par des allégations au sujet d’une relation extraconjugale qui aurait mené à la grossesse d’une fan.

D’après moi, continuer de colporter ces allégations sans avoir la moindre preuve de leur valider est d’une tentative désespérer de la part de cette chaîne pour faire plus d’audience.

Je ne dis pas que les sportifs sont au dessus des lois, mais seul des analyses scientifiques pourront faire la lumière sur des faits qui n’ont pas lien d’être aborder dans ce journal.

A l’heure actuelle, il n’existe aucune preuve pouvant certifiée le bien fondé de ces allégations et commenter de nouveau cette affaire remet en cause la présomption d’innocence à laquelle Nathan Scott a droit.

Si j’ai eu envie de présenter le journal des sports, c’est par conviction, je crois qu’entendre parler des sportifs pousse les gens à se dépasser, moi-même je sais que je ne serais pas un sportif hors pair mais je fais de mon mieux pour être hors pair dans d’autre domaine et pour cela je refuse de céder à la pression, il est hors de question que je m’abaisse à un niveau déplorable et c’est exactement ce que Nathan Scott a dû se dire.

Je fais confiance à Nathan Scott, mais je fais aussi confiance aux téléspectateurs.

Je suis sûr que vous n’avez pas envie de contribuer à son lâchage alors si vous voulez de vrai infos sportives et non des ragots, changez de chaîne, ça prouvera à mon patron ce qui compte ce n’est pas de faire de l’audience ce qui compte c’est de se montrer humain et rester intègre et par-dessus tout dire la vérité.

Contrairement à ce qu’on croit, ça veut encore dire quelque chose.

C’était Marvin McFaden pour le journal des sports qui était encore un vrai journal il n’y a pas encore si longtemps.