ao10
La solitude des princesses
la grâce des sirènes
sous la mer effilochée
le sable hurle des rêves en cendres
ces courants d’air dans ma tête
tes croyances fausses sur lesquelles je te laisse,
Ô vieux dragon malade que tu ne peux pourfendre
au feu de pacotille que rafle une frêle tempête
Les ruines de mon cœur moite redeviendront écume
quand ricaneront les vagues de nos songes éblouis,
je saurai me souvenir que j’avais tout compris
comme tes chaînes sont blêmes à côté de mes brumes
Mille portes chimères contre une authentique clef…
Et le onzième trèfle, est en train de percer.