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Les Brûleurs de Loups ont infligé une véritable correction à Angers, marquant 7 buts dès le premier tiers, qui avait pourtant débuté son championnat en dominant largement Reims (6-2). Impressionnant.
A Grenoble, Pôle Sud, Grenoble bat Angers 13-0 (7-1, 1-0, 5-0). Arbitre : M. Barcelo. 129 spectateurs.
Buts pour Grenoble : 3'30 Arrossamena (Papa, Moisand) inf. num., 4'10 Benoit inf.num., 5'02 Moisand (Delemps), 14'18 Crossman (Koren), 17'59 Colotti (Martin, Benoit) sup. num., 18'43 Martin (Benoit, Suzzarini), 19'07 Papa (Crossman, Moisand), 22'16 Arrossamena (Papa, Crossman) sup. num., 51'42 Arrosamena (Bedin, Papa) sup. num., 56'34 Scolari (Delemps, Vella), 57'40 Vella (Chapuis, Scolari), 59'18 Benoit double inf. num., 59'59 Arrossamena (Crossman, Koren) double inf. num.
Pénalités : 26' contre Grenoble ; 39' contre Angers.
Champions de France en titre, les Espoirs grenoblois sont repartis sur de bonnes bases. Déjà contre Villard les jeunes Brûleurs de Loups avaient fait forte impression. Cette fois-ci, c'est Angers qui est passé à la moulinette. Notamment au cours d'une première période où les pensionnaires de Pôle Sud ont inscrit la bagatelle de 7 buts.
Les deux premiers, signés Nicolas Arrossamena et Loup Benoit, l'ont été alors que les Isérois évoluaient à 4 contre 5. Le troisième, de Maxime Moisand, lors de la sortie de prison de Scolari. Le tout en à peine 5 minutes de jeu. La messe était déjà dite. A tel point qu'Angers changeait déjà de gardien après le 4ème but de Crossman. Sans grosses conséquences sur la verve offensive des locaux qui inscrivaient 3 nouveaux buts en à peine plus d'une minute.
L'avalanche de buts ralentissait au cours d'un deuxième acte où « seul » un but d'Arrossamena venait alourdir la marque. Un répit d'une demi-heure pour les visiteurs avant que la foudre ne s'abatte à nouveau sur leur cage. D'abord par Arrossamena puis par 4 réalisations en 3 minutes 30 – dont deux à 3 contre 5 ! – de Scolari, Vella, Benoit et par l'inévitable Arrossamena.
Grenoble se déplacera à Amiens dimanche prochain pour confirmer son état de grâce actuel.
Frédéric Sougey
Crédits photo : Alain Martenon
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