Il est bien loin, le temps de la rupture de Mitterrand, de la politique de Palme…..
La social-démocratie est devenue lentement et sûrement t le deuxième choix de la classe dominante . la social-démocratie est devenue lentement
mais sûrement un pilier de l’idéologie néolibérale. Une vieille grade s’est progressivement eclpiése une autre à prix le dessus. La nouvelle génération a pour nom Sroeder, Blair, Zapatéro, ils
ont conduit la même politique économique et sociale que les conservateurs. Parallèlement les conservateurs ont plus que durcit leur politique économique, mais en plus sous l’influence de la
révolution conservatrice, ils s’attaquent aux libertés fondamentales. Chaque fois que les libertés fondamentales sont trop durement attaquées, des candidats plus respectables l’emportent :Prodi
en Italie, Blair en Grande Bretagne, Zapatéro, voir Obama (qui n’a rien de socialiste, ni social-démocrate….). L’insuffisance de leurs programmes sociaux entraînent
rapidement la désillusion des classes populaires et le retour des conservateurs au scrutin suivant. Parfois, certains de hommes politiques de gauche ne s’embarrassent même plus de la défense des
libertés fondamentales, à l’image de Blair à partir de 2001 !
Ce point de vue est en partie vrai mais il doit être fortement nuancé Rien n’est blanc, rien n’est noir, la politique est aussi complexe que la nature
humaine. Dans chaque parti, de l’Internationale ; il y a des courants très gauche, mais il existe aussi un vaste marais qui suit la ligne actuelle pensant que
malheureusement la social-démocratie est piégée par le néolibéralisme. Certains veulent adapter d’autres rompre et une minorité agissante souhaite adhérer à l’idéologie dominante.. cette
minorité a pris les partis socialistes en otage pour effectivement mener de manière plus souple la politique de démolition sociale. Ils ont même théorisé leur trahison en créant
la fameuse 3e voie.
Ils trahissent et trahiront encore !
Tant que le marais n’aura pris conscience que la rupture est la seule voie, la social-démocratie restera effectivement le deuxième choix de la classe
dominante