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De la pertinence dans l'impertinence

Par Eguillot

C'est un grand plaisir pour moi d'annoncer que le premier tirage de 250 exemplaires du Souffle d'Aoles, premier tome du cycle d'Ardalia, est à présent épuisé. Il dépasse donc les ventes de mon précédent livre, le recueil de nouvelles Les Explorateurs. J'avais anticipé cela en juillet, quoique je ne m'attendais pas à ce que cela se produise si tôt, en commandant un nouveau tirage de 250 exemplaires. Pas de risque de rupture de stock, donc. Ce bonheur, celui de l'auteur-éditeur qui parvient à essaimer son ouvrage au-delà d'un cercle d'intimes, aussi savoureux soit-il, n'empêche pas la remise en question. J'ai donc décidé de réviser la charte graphique de la couverture du roman ainsi que le texte de présentation au dos du livre.
Je me demandais depuis un certain temps déjà pourquoi le roman se vendait en séance de dédicaces et pas en librairie. Il se trouve que la rencontre avec une lectrice, très pertinente dans son impertinence, et un libraire dernièrement lors d'une séance de dédicaces à Chambly, dans l'Oise, m'a apporté une double réponse :
- la maquette (charte graphique) de la couverture n'est pas assez accrocheuse
- la quatrième de couverture (le dos du livre) ne reflète pas le contenu du roman
Dans ces conditions, il me paraît logique que le livre ne puisse trouver son public "par lui-même". J'ai donc décidé de modifier la maquette et de rédiger cette nouvelle présentation, que je vous laisse découvrir.

A noter que la nouvelle couverture n'est pas celle que l'on trouvera dans un premier temps en séance de dédicaces ou en commandant le livre, à moins que l'on ne me fasse une commande de minimum 3 ouvrages : c'est en effet à cette seule condition que je referai fabriquer de nouveaux exemplaires à la demande, ou bien sûr, lorsque le stock  actuel de 250 sera épuisé. Le contenu du livre demeure de toute façon le même. On peut parler, si vous voulez, de changements cosmétiques visant à assurer une meilleure mise en valeur du livre en rayons. Voici donc la couverture et la quatrième de couverture (la qualité des images ci-dessous n'est pas encore représentative de la qualité finale, mais cela donne une idée).

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Le texte de la quatrième de couverture :

Pelmen doit beaucoup à la famille Boisencroix. Jusqu’à sa rencontre avec Teleg, le fils, il avait pour seule perspective la découpe de peaux de bêtes à l’aide d’un silex à la tannerie nauséabonde de son village. C’est ce nouvel ami qui lui a fait découvrir le travail du bois. Mieux encore, Galn, le père de Teleg, l’a initié au tir à l’arc, et Pelmen s’est révélé tellement doué pour cet art qu’il a réussi à infléchir la course de son destin en devenant archer. Mais un jour, de mystérieux individus entrent en contact avec Teleg dans une taverne. En lui proposant un fragment d’ambreroche, minerai précieux entre tous, et en lui promettant la richesse, les inconnus parviennent à le convaincre de s’exiler pour travailler dans une mine. Lorsque Pelmen apprend que ces personnages sont des adorateurs du feu, ennemis héréditaires, il n’hésite pas à se lancer dans l’aventure. Pour retrouver son ami et le tirer des griffes des nylevs, serviteurs du dieu de la destruction, il lui faudra surmonter bien des appréhensions et s’allier avec des êtres étranges et fantastiques : un shaman maîtrisant le souffle d’Aoles, autrement dit le pouvoir du vent, un krongos, créature de la terre capable de s’incorporer à la roche, et enfin des malians adeptes de la magie de l’eau.

Une grande histoire d’amitié. Un roman qui conviendra aussi bien aux adolescents, qui verront évoluer un héros à la personnalité attachante qu’aux adultes, qui découvriront un univers complexe et cohérent.

L’auteur : Né à Quito en Équateur en 1971, Alan Spade a ensuite passé une partie de son enfance en Afrique subsaharienne. Ses parents ont finalement choisi de s’établir dans le sud de la France, où Alan a fait connaissance avec les auteurs classiques de l’hexagone en même temps qu’il baignait dans les romans de Lovecraft, Asimov, Tolkien et King. C’est ce mélange qui fait l’originalité de son style.


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