Avec ce recueil de quatre nouvelles primées, Alain Emery confirme qu’il est un grand nouvelliste. Ces nouvelles portent sur des thèmes comme la vieillesse, les non –dits. Quatre nouvelles d’exception etune écriture superbe !Les chutes travaillées nous laissent le goût de nos faiblessesou nous font réfléchir. Difficile de rester indifférent à la lecture de la nouvelle les petits devants. Un homme découvre d’où provientla richesse de sa famille, une richesse au prix la dénonciation pendant la seconde guerre mondiale. Quelle sera sa réaction finale ? Des nouvelles qui amènent à se poserbien des questions...Un petit recueil et quatre pépites...Mon grand-père est entré dans le grand monde en portant le dos, en plus de son fourbi d’orfèvre, une croix dont l’ombre le condamnait. Il lui a suffi de fuir les regards pour esquiver sa conscience. Piquer du nez sur sescailloux, travailler d’arrache-pied et laisser le labeur le patiner. Le temps a fait son œuvre. C’est devenu la faute de l’époque. Celle à pas de chance. Lui-même a fini par ne plus se souvenir. Les autres non plus. L’oubli est un cercueil capitonné.Hélas, ce recueil a été édité en un nombre d’exemplaires limité, du même auteur, je vous conseille (fortement) de lire Divines Antilopes.
Avec ce recueil de quatre nouvelles primées, Alain Emery confirme qu’il est un grand nouvelliste. Ces nouvelles portent sur des thèmes comme la vieillesse, les non –dits. Quatre nouvelles d’exception etune écriture superbe !Les chutes travaillées nous laissent le goût de nos faiblessesou nous font réfléchir. Difficile de rester indifférent à la lecture de la nouvelle les petits devants. Un homme découvre d’où provientla richesse de sa famille, une richesse au prix la dénonciation pendant la seconde guerre mondiale. Quelle sera sa réaction finale ? Des nouvelles qui amènent à se poserbien des questions...Un petit recueil et quatre pépites...Mon grand-père est entré dans le grand monde en portant le dos, en plus de son fourbi d’orfèvre, une croix dont l’ombre le condamnait. Il lui a suffi de fuir les regards pour esquiver sa conscience. Piquer du nez sur sescailloux, travailler d’arrache-pied et laisser le labeur le patiner. Le temps a fait son œuvre. C’est devenu la faute de l’époque. Celle à pas de chance. Lui-même a fini par ne plus se souvenir. Les autres non plus. L’oubli est un cercueil capitonné.Hélas, ce recueil a été édité en un nombre d’exemplaires limité, du même auteur, je vous conseille (fortement) de lire Divines Antilopes.