Les accros à Facebook, et insomniaques par la même occasion, l’on peut-être remarqué ou du moins se sont énervé en la subissant. Jeudi soir, ce réseau social a subi ses pires dysfonctionnements depuis sa création. Une panne. Durant deux heures et demie, le site est resté quasi-inaccessible. Ceux qui ont pu se connecter l’on fait surement de manière tout à fait temporaire, voire au ralenti.
Un « plantage » monstre provoqué par un nouveau système automatique censé vérifier la bonne configuration de chaque client accédant au site. Des bugs dans le paramétrage ont déclenché un afflux de requêtes sur les serveurs, contraignant Facebook à interrompre le trafic avant de le rétablir progressivement affolant du coup les usagers les poussant à chercher à obtenir de nouveaux réglages, entraînant d’autres afflux de requêtes. Aux alentours de minuit, le trafic vers Facebook s’est rapidement dégradé pour devenir quasi nul.
Victime de son succès avec 500 millions d’utilisateurs dans le monde, Facebook rencontre des problèmes techniques dans ses paramétrages, sans toutefois écorner sa réputation : selon des données d’AlertSite publiées en début d’année, il a répondu à 97% des connexions en 2009, en moyenne plus vite que YouTube, Twitter et MySpace(sic).
Les jeunes à Madagascar sont de plus en plus devenus des inconditionnels de ce site, il n’est pas rare de trouver dans les cybercafés des jeunes les yeux rivés sur l’écran avec facebook comme site de prédilection. De grands aficionados sont mêmes comme scotchés à leur terminal à l’affut des moindres commentaires sur son mur…sur le mur des autres … sur le site tout entier. D’ailleurs, ce site communautaire est devenu comme une bouée salutaire pour pas mal de gens les aidant à se « connecter » rapidement entre eux qu’ils soient à quelques encablures ou à milles lieux d’écart. On assiste même à une mutation de son utilisation, laissant libre cour à des inspirations des plus incongrues. Sa vocation de partage est devenu son capital, permettant de s’organiser, d’organiser des évènements à moindre coût mais à vitesse grand …V. Avec son succès, les rumeurs indiqueraient que le réseau social projetterait de sortir un smartphone, un « facebook phone » en quelque sorte. Il est clair que facebook ne construirait pas lui-même son téléphone mobile mais en développerait simplement le moteur comme Google l’a fait avec Android. D’ailleurs, malin comme il est, le créateur de ce site serait plus intéressé par les revenus d’un magasin d’applications que dans la vente d’un téléphone « facebook ».