Une bête gluante et dégoulinante, qui se déchire sans jamais se rompre, du coton, coule sur ma peau, le long de ma cuisse, entre mes cheveux. Serpent, araignée de mer, poulpe ou méduse, tout cela à la fois, enroule ses tentacules autour de mes pensées avec tant de raffinement qu’il me faut lutter pour ne pas me noyer.
Et toujours, au fond de l’abyme, cette lueur.