Grâce à WebDevOnLinux (au passage: MERCI), j’ai découvert l’existence de Pinguy OS.
Autant vous le dire tout de suite: LE CHOC! « Tout y est! » (positivement parlant), un… éléphant, sur seulement 1,3 Go (à graver non seulement sur DVD, mais dans sa -vive- mémoire…).
Tout? Enfin presque: la seule chose à ajouter? Comme d’habitude, le fichier « libdvdcss » à absolument installer ( direction le terminal: « sudo /usr/share/doc/libdvdread4/install-css.sh » - sans les guillemets! -), pour pouvoir regarder vos films DVD préférés ( VLC – le meilleur lecteur video – étant installé… « par défaut »: plutôt une qualité!).
Mais c’est aussi le cas pour tous les OS GNU/Linux (pour des raison juridiques), donc aussi pour l’OS Trisquel.
Quand au reste: à vous l’honneur, il ne reste qu’à l’essayer pour comprendre…
Un bémol (pour certains)? Il n’est pas possible de l’installer en version française (en anglais). Mais bon, WebDevOnLinux (pub!), en « super héros » (?), a trouvé la solution, pour celles et ceux qui voudraient que Penguy « parle » français. Je n’ai personnellement pas effectué – et donc « testé » -, la manipulation et, vus les derniers événements, je ne cours pas vraiment après (Zut! je n’ai pas pu m’en empêcher…).
Et pourquoi donc ce titre? (l’essentiel du post est là…)
Ayant découvert Trisquel 4.0 LTS « Taranis » qui vient de sortir (mi-septembre), et le considérant comme l’OS GNU/Linux le plus abouti à ce jour (cf. ici), la comparaisons est bien naturelle.
Et bien: IMCAPABLE de me prononcer définitivement! « Entre les deux » , mon coeur… ou plutôt ma (dé?)raison balance…
Sur « l’échelle de Richter » des » états d’esprit » dans lesquels ont été conçus ces deux OS, ils sont RADICALEMENT à l’opposé: l’un, Trisquel, a comme principe cardinal de rester strictement « dans les clous » du libre (…« respectant les 4 libertés au sens strict précisées par la FSF » (Wikipedia)… ), l’autre ayant, de toute évidence, fait fi de l’absolutisme dudit principe (sans pour autant en « mettre à ras-bord »: l’usage – et l’usager -, avant tout…).
Et devinez-quoi? Ils approchent -à mon humble avis- tout autant l’un que l’autre, de la perfection (si elle est possible, dans ce bas-monde).
Le même résultat – à « epsilon » près -, mais par des chemins n’ayant aucun rapport!
C’est là où ça devient intéressant, hein? (deux, trois, quatre…)
« Cela interroge », et en particulier sur la notion même du « libre »: le piège ne serait-il pas de le considérer comme un dogme? OUI , démontre très clairement l’OS Pinguy. NON, démontre tout aussi limpidement l’équipe ayant développé la version « Taranis » de l’OS Trisquel.
Conclusion (ponctuelle, puisque, philosophiquement parlant, il n’y a… « par définition » -hihi!-, pas de conclusion…):
Le piège ne serait-il pas, en se voulant « anticonformiste », de (re)créer le pire des conformismes?
Enfin bon, « mon coeur » tendrait plutôt vers… Trisquel « Taranis » : bingo!
Mais heureusement que j’ai plus d’un ordinateur dans ma besace (« sac à deux poches »: incroyable! source: Quillet Flammarion, édition 1973, et non pas Wikipedia: non mais!): sauvé…
NOTA: à regarder, « ce que je notais en NOTA« , quand je proposais: « GNU/Linux: mes 3 OS préférés ». S’il n’y a pas « de l’uranus dans l’air »…