Viré après 5 montées avec un club qui n’a vraiment pas vocation à être dans l’élite, Estevan se lâche : « A Paris, en sortant de l’hôtel, j’avais l’impression de faire un voyage touristique. Il y avait le fils du président, son petit-fils… On ne me laissait pas faire. Il fallait que je fasse plaisir au président. Je disais oui à chaque nom. Si je ne disais pas oui, il cachait les noms. Ce n’était pas la peine de discuter ».
Salerno, à toi…