Les bactéries ont mauvaise presse, il faut dire qu’elles en ont fait des mures et des pas vertes pour ce faire. Mycobacterium tuberculosis, ou BK (bacille de Koch, pas Bernard Kouchner), donne la tuberculose, Treponema Pallidum flanque la syphilis (enfin dans ce dernier cas on a beau jeu de n’accuser que la bactérie…), etc. Les USA pretextent la présence de bactérie pour refuser le passage des frontières à nos chers fromages… Pourtant, les bactéries sont fondamentales pour la vie sur terre. Un humain normal en hébèrge 10 puissance 14 dans son intestin, et la terre 6 mille milliards de milliards de milliards, selon wikipédia. Somme à laquelle il faut désormais rajouter les bactéries du chandelier Bacteriopicta dessiné par Madlab.
Pas de bactéries luminescente dans ce lustre dessiné pour un projet privé, mais des boîtes de Petri qui servent à les cultiver. Elles sont reliées par des fibres optiques qui accentuent l’aspect « mad scientist » de l’objet. Les Mad designers nous informent d’ailleurs que la nacture bactériologique de leur projet n’en fait pas un objet comme un autre. Voici pourquoi, dans une fidèle transcription googletrad « pauses Bacterioptica des normes de conception (Bacteriopicta sort des normes habituelles de conception, notes du lecteur), un luminaire équipé de boîtes de Pétri. Conçu pour être souple, non seulement dans sa forme et de la mécanique, mais plus important, dans la façon dont il évolue. Bacterioptica n’est pas typique de votre lustre, tout comme pas de famille est une unité type d’interactions. Son interrupteur marche / arrêt ne le contrôle pas. Bacterioptica est vivant. Il pousse. Il est lui-même un organisme des ménages. Il est vivant et respirant le même air et des bactéries que nous sommes ». Un lampadaire qui vit? But How? Éclaire notre lanterne MadLab!
Source : NotCot, et ailleurs grâce au net. Comme le remarque MadLab sur son site « Bacteriopicta has gone viral », c’est devenu un véritable virus…