Arnacoeur :Comédie romantique bien banale avec une idée de départ solide mais qui s’essoufle en cours de route. On ne comprend jamais trop pourquoi Duris tombe pour Vanessa Paradis, pas qu’elle soit chiante mais comme objet de désir, on a vu mieux.
Black Deep Throat : Une grande africaine couche avec tout ce qui bouge en Italie pour obtenir des renseignements. Genre film érotico-espionage mais plus érotico que espionnage.
I Spit On Your Corpse, I Piss On Your Grave : Probablement le pire film du monde. Rien à voir avec I Spit On Your Grave ou son remake prochain. Non, je n’avais pas le goût de voir une fille se rentrer un manche à balaie dans le vagin et non j’avais encore moins le goût de la voir utiliser ce manche dans l’anus d’un homme séquestré sur son lit. Tout ça en guise de vengeance. Les pires acteurs du monde sont réunis dans le sous-sol d’une pseudo-punk/goth ratée et subissent ses sévices.
Tekken : Basé sur le jeu vidéo. Un effort a été fait au niveau direction artistique pour élever ce film de combats au-dessus de la moyenne. Tout est cliché et typique mais pas trop chiant. Rien n’est vraiment captivant, ni les combats, ni l’histoire, ni les acteurs mais après avoir vu King Of Fighters, on se dit qu’un peu de talent fait toute la différence.
Ennemi Public no 1 : 2e partie sur Jacques Mesrine où cette fois Richet se concentre sur l’après-Québec. Cassel incarne avec intensité, Mesrine, Ludivine Sagnier est nue, Amalric porte la moustache et Richet se la joue un peu.
Rampage : Uwe Boll avait fait Postal, sorte de comédie sur les USA où son personnage principal « goes postal » mais dans une farce où il était difficile d’y voir un second degré. Cette fois, Boll réalise son meilleur film en reprenant l’idée du « mec qui pète les plombs » et nous offre un drame violent et très bien joué et écrit. La réalisation et le montage sont les points faibles mais rien qui nous empêche d’y voir le message que Boll veut livrer.
Protege : Drame polcicier hong konguais très réaliste et prenant, du point de vue des dealer d‘héroïne.
Rob B Hood : Jackie Chan nous offre son meilleur film depuis fort longtemps même s’il est beaucoup trop long. Quelques cascades impressionantes et de l’humour bon enfant Pour fans seulement.
Best Of The Best 4 : oui…bon….c’est ça…
Case 39 : Film d’horreur avec Renee Zellweger qui après avoir adoptée une fillette battue par ses parents se retrouve avec beaucoup trop de trucs sur les bras du genre, la fillette à besoin d’attention et se met à tuer (télépathiquement, j’imagine) les amis de Renee. La fillette est probalement le diable incarné ou quelque chose comme ça, j’écoutais à moitié, c’est à ce point prenant.
Merentau : Ong Bak à donné un nouveau souffle et au cinéma Taïwannais et aux films d’arts Martiaux en plus d’être une sacré surprise. Merentau est le Ong Bak de 2010. Il n’arrive pas à la cheville de Ong bak au département des cascades/combats/scènes d’action mais il est beaucoupplus écoutable grâce entre autre à une histoire plus solide et une finale surprise. Les combats sont parfois trop chorégraphiés et souvent accélérés de façon maladroite mais on ne boudera pas sont plaisir devant tant de bastons bien filmé, au montage fluide.
No Distance Left To Run :Documentaire sur la tournée réunion de Blur, en fait, sur le retour de Graham Coxon dans l’alignement après 7-8 ans de mutisme entre lui et Damon Albarn. Superbement filmé avec images d’archives à l’appuie, ce film retrace rapidement la carrière du légendaire groupe britannique. Le survol est un peu trop rapide.
Zone Of The Dead : Film de Zombies serbe (le fim est une production serbe et non les zombies…en fait oui les acteurs jouant les zombies sont serbes). Le film n’est pas meilleur ni pire que tout ce qui se fait comme film à petit budget. Dénué d’humour et mettant en scène des acteurs figés qui débitent des dialogues explicatifs et risibles, Ken Foree y perd son temps et l’acteur principal est caricatural.
The Substitute :Ole Bornedal peut être 5-6 ans sans réaliser de films et puis revenir avec 3 films en 3 ans. The Substitute est un espèce de truc science-fiction/horreur pour enfants. Les images sont sublimes, le film, pas trop épeurant genre Opération beurre de pinotte. Bien.
Solomon Kane : Production française, ce film de capes et épéesest soutenue par un acteur sans grand charisme, un 2e degré biblico-chrétieno-propagando-religieuse, des images magnifiques et beaucoup de prétention. Dans le genre Clash Of The Titans meets Le Pacte des loups.
Giallo : Il y a quelque chose d’horriblement gênant dans Giallo. Dernier film de Dario Argento et maître incontestable du Giallo (polar d’horreur italien, genre). On ne sait pas où Argento veut en venir, puisque son film n’est pas un giallo étant donné qu’on connaît l’identité du meurtrier en milieu de parcours. Giallo est le nom du meurtier, celui-cia la jaunisse (giallo veut dire jaune en italien). La partie extrêmement gênante est dû au fait que Vincent Gallo, devant jouer le meurtrier, s’est désisté, Argento à donc remplacé Gallo par Adrian Brody. Brody joue le meurtrier mais également le policer, personnage principal. On voit donc Brody pourchasser Brody sous un masque risible mais toujours avec le même gros nez et la même voix rendant le tout extrêment confu. Un giallo doit surprendre par son meurtrier alors qu’ici on connaît son identité mais comme il s’agit d’Adrian Brody, acteur américain par excellence, le spectateur se dit que c’est peut-être une surprise, un revirement choc alors que le film semble linéaire, peut-être ne l’est-il pas, etc… Et bien non tout ça se termine de façon abrupte ou Brody tue Brody laissant le spectateur toujours confu quant au meurtier. Était-il le frère jumeau séparé à la naissance Van-Damme-style ou s’agit-il tout simplement de 2 personnes n’ayant aucun lien de parenté mais avec le même grand nez croche et le même sourire. Au générique on nomme Byron Deidra pour le rôle du tueur, un anagramme de Adrien Brody ou est-ce le vrai Byron Deidra, acteur italien par excellence?
Long Weekend : Remake de l’autre et fièrement écrit par le même scénariste même si 30 années séparent les deux films, ce pseudo survival est exécrable. Le réalisateur n’a pas réactualisé l’original, ne lui a pas donné une portée plus socio-écologico-machin actuel, il a seulement refait le film. Les personnages sont INCROYABLEMENTS détestables, c’était le but de l’original et c’est encore le but ici mais il n’en demaure pas moins que 1) on veut les voir mourir 2) on se crisse pas mal de leur sort et 3) ils donnent le goût d’arrêter d’écouter le film. Le message est clair et important mais la façon de le traiter est chiante.
Exponerad : Film dans la lignée de tout les autres mettant en vedette Cristina Lindberg (Maid In Sweden, Thriller, Sex and Fury (la plus grande inspiration pour Kill Bill)) dans sa période « je découvre ma sexualité en Suède ».
Frat House : Faux documentaire sur les fraternity houses par le réalisateur de The Hangover. Le côté suspense fonctionne moins mais le film est très drôle si on reconnait qu’il n’est pas vrai.
The Adventures Of Buckaroo Banzai Across The Eighth Dimension : Buckaroo Banzai est un chirurgien/scientifique/rockstar et il doit défendre la terre contre une menace extra-terrestre. Plaisir coupable de mon enfance, le film est encore meilleur aujourd'hui pour son côté bédéesque et pince-sans-rire et surtout pour le style vestimentaire.
House On Sorority Row : Film d’horreur du début des années 1980. Quelques meurtres ingénieux, un simili-suspense éfficace et des acteurs sans talents. Un soi-disant classique qui a mal vieilli, peut-être le petit budget de l’entreprise y est pour quelque chose.
Le Villain : Albert Dupontel nous sert son meilleur film. Une comédie cartoonesque comme il en fait toujours, sorte de croisement entre Bernie et Tatie Danielle. Dupontel, Catherine Frot et Bouli Lanners sont excellent.
Art Of The Devil 1-2-3 : Une triologie d’horreur qui ne se suit pas trop mis à part des scènes de tortures assez intenses et des reptiles qui sortent par des orifices.