Claude Puel a une constance toujours incroyable. Pas un mot plus haut que l’autre et les mots durs d’Aulas ne changent rien : »Quand le président intervient, il défend son club ou l’institution, ni moi ou les joueurs. Il a jugé opportun de s’exprimer ainsi, ça ne me choque pas. J’ai quand même cerné depuis pas mal de temps le métier d’entraîneur… Je n’ai pas grand chose d’autre à dire sur le sujet. »
C’est peut-être sa plus grande qualité : souffrir en silence.