Aujourd’hui nous allons nous poser une question fondamentale.
Qu’est ce qu’une question fondamentale ? C’est une question que personne ne s’est jamais posée. Mais un journal féminin – ou masculin – l’impose comme étant le sujet dont tout groupe composé de gens ayant les mêmes organes génitaux discute.
ex. Groupe de garçons “mais pourquoi les filles n’aiment pas l’éjaculation faciale ?”
ex. Groupe de filles “mais pourquoi les garçons ne veulent pas faire 5 h de shopping à H&M ?”
La question fondamentale implique que
- tu sois hétérosexuel
- tu sois en couple ou souhaite l’être
- tu te reconnaisses dans les stéréotypes attribués à ton sexe.
ex. tu es un garçon et rêve d’éjaculer sur le visage d’une fille
ex. tu es une fille et tu adores passer 5 heures à H&M.
Alors que je lisais Closer La revue des archives de sciences sociales des religions, je suis donc tombée sur une question fondamentale.
“Pourquoi les hommes monopolisent-ils à chaque fois la télécommande ?” de la rubrique “Comment ca marche un homme”.
Et là, tous et toutes nous nous demandons comment nous avons pu vivre sans connaitre la réponse à cette question cruciale.
Et donc la psychologue clinicienne de Closer nous répond.
“Les hommes aiment bien commander, c’est dans leur nature. A une époque lointaine, ile exigeaient que leurs femmes obéissent au doigt et à l’œil. Aujourd’hui avec la télécommande, le cote dominateur du mâle reprend le dessus ; d’un simple pression de l’index, ces messieurs changent de chaine à l’envi sans se préoccuper des autres. Certains que l’herbe est toujours plus verte ailleurs, réfractaires à la passivité, nombre d’entre eux éprouvent le sentiment d’être les maîtres du jeu en tapotant sur leur clavier ? Mais, alors qu’ils sont convaincus de faire preuve d’indépendance d’esprit, ils jouent, sans le savoir, le jeu de la télévision, dont le but est de persuader tout un chacun qu’elle s’adresse à lui seul. Le résultat est sans appel : les hommes zappent les programmes qui leur déplaisent ; mais aussi leur compagne, si la malheureuse a l’audace de râler !”
Voili, voilà.