Watch out: this song is an old tune of theirs, not featured in their new album
Références musicales : Nina Kinert, Beck
New Found Land - The Bell (mp3)
I did not expect that. Well, actually I did. At least, I thought they could, but was not sure they would. I knew New Found Land was a good pop band, able to write catchy tunes, but when their first record We all die was released, I wrote it was "a convincing debut but I can feel New Found Land can become even better in a next future".
They did : their soon to be released new album The Bell (out in Scandinavia on the 27th of October) is much much better and audacious than anything they released before. Between Nina Kinert and Beck, the band finds its own way through diverse influences. From regular pop to kind-of-electro music, even sometimes a little bit hip-hop since Anna's "flow" includes more words in a sentence than usual pop tunes. "Hip-pop" then. Or something.
Opening track The Bell is a good example of the record's ability to propose an interesting sound: its starts as a childish music, evolves into a song the French singer Camille could sing, then follows its own way in a tribal/African atmosphere, while Anna is nearly "rapping" about love. In between, you will hear some "ohh lalalala". Some "beeeeps" come from nowhere. Some whispers too. Yes, I confess, I could never prepare myself for this.
Pour mes compatriotes français
Je ne m'attendais pas à ça. Enfin si, je m'y attendais. Disons que je les en sentais capables, mais ne pensais pas qu'ils y arriveraient réellement. Certes, je savais que New Found Land était un bon groupe de pop, capable de pondre des bombinettes super efficaces, mais lorsqu'était sorti leur premier album We all die, j'avais écrit "un début prometteur, mais, instinctivement, je sens que New Found Land est capable d'encore mieux".
Ils l'ont fait : leur nouvel album The Bell (dont la sortie en Scandinavie est prévue pour le 27 octobre) est bien bien meilleur et audacieux que tout ce qu'ils ont produit jusque là. Entre Nina Kinert et Beck, le groupe parvient à trouver sa propre voix à travers diverses influences. De la pop classique jusqu'à l'électro, avec même un petit côté hip-hop tant le "flow" d'Anna comprend davantage de mots par phrase que dans des morceaux pop ordinaires. "Hip-pop" donc, ou un truc dans le genre.
The Bell qui ouvre le disque constitue un bon exemple de la capacité de l'album à nous proposer un son intéressant : ça débute comme une musique d'enfant, évoque ensuite une chanson de Camille, puis trace sa route au milieu de rythmes un peu tribaux/africains pendant qu'Anna "rap" sur l'amour. Au beau milieu de tout ça, vous entendrez des "ohh lalalala". Quelques "beeeeps" venus de nulle part. Des souffles. Oui, j'en conviens, "I could never prepare myself for this" comme l'indique le refrain.