La b oite à grimoire,
Sous l'oeil vigil,qu'il étire en longueur,
Avec des doigtsq en douceur,
Il cre avec orgueil,
Non! le grimoire n'est pas mort.
Venez,a^pprochez,
Regarder,
Les envis d'apparaitre
Se laissent engloutis,
Pour des besoins funestes,
Voilà que pour quelques égarés,
Par ici encore,
Il décide d'être honnête.
Il se dit lire les sorts,
A raison ou à tors,
Avec les discrétions qu'il ne cesse ici,
A démontrer aussi,
Le plaisir des hommes,
Ceux qyui n'ont pas d'ammante,
Epinglés par leur sort contre le mur,
Pas d'amis hormis,
L'ennui,
Tombeur de noceur,
Dans son écriture miteuse,
Et ùmystérieuse,
Pour une dévotion bigote,
Où juste l'odeur,
De l'ensens,
Qui ressemble à celle des sarcophages funèbres,.
Fermé sur lui même,
Son cerveau pesant,
Il ne connaît que les songes et les rêves,
Qu'il emboîte dans sa boite magique à trésors.
Pour ne pas les faire souffrir,
Il allonge ses clients ,et les fait endormir,
Par un tour sacrilège.
Un moment d'une rare intensité,
Autour des abords,
Il ne cesse à redire
Retrouvez la femme étreinte,
Si douce dont vous êtes instantanément tombé,
Amoureux.
Las ,et peureux,
Jusqu'à perdre le peu de bon sens,
Que la vie lui a fait don.
Morasse simplifié ou ressenti,
Avec raisonnements primitifs,
Influencé par le grimoire,
Il vient de sortir des ténèbres, noirs,
Dressant son portrait pitoyable et changeant,
Manipulé et dérangeant,
Perdant la raison par l'obsession des repères,
Et l'étreinte symbolique qui le bascule,
Jusqu'à perdre son identité fragile.
L'esprit errant,
Déjà affaibli,influencé et chancelant,
Il entre dans une atmosphère ,
Etra,nge et imagée,
Avant de s'écrouler par terre.
AUTEUR a:kadi