Retour dans les années 50, Farrah Fawcett avait 3 ans, loin de se douter que les bigoudis et le hairbrush allaient lui survivre. En 2010, je bricole avec une dizaine de bigoudis décrépis, quelques pics à cheveux, une voilette non moins ridicule et un sèche cheveux standard.
Les autres, jalouses : « Mais tu ressembles pas à Mozart avec ça ? »
Moi, dans l’argumentation la plus pertinente : « Non, pas du tout ».
Peu importe, les 20 minutes passées sous le casque me libèrent du temps pour faire un tas de choses. Le téléphone peut vibrer tant qu’il voudra, rien ne me supprimera la satisfaction de retirer mes rouleaux. Une sensation proche de celle du démoulage d’une tarte maison.
Cosmétoniquement vôtre xxx