Ce 16 septembre est paru Les chemins de moindre résistance de Guillaume Lebeau.
Le résumé me donnait envie. Imaginez un écrivain qui garde son identité secrète, des éditeurs prêts à tout pour vendre et un enfant malade fan de l’auteur. Ajoutez à ça un laboratoire qui manipule des maladies pour le compte de l’état.
Du pouvoir, de l’influence, plusieurs histoires qui allaient s’entremêler à un moment ou à un autre, c’était prometteur. Et pourtant je dois avouer que je n’ai pas accroché une seconde au livre. J’ai eu beau lui donner sa chance, je trouve que le passage d’un personnage à un autre, et d’une histoire à une autre, n’est pas du tout clair et que l’on se perd dès le début.
Comme à chaque critique négative, ceci n’est qu’un avis personnel. Je serai ravi de le partager avec d’autres lecteurs, n’hésitez donc pas à laisser vos commentaires sous cette chronique.
Les chemins de moindre résistance de Guillaume Lebeau, Editions Les 400 coups, 320 pages, 14,50€.