Logement au Cameroun: 10.000 logements en vue d’ici 2011
Publié le 20 septembre 2010 par 237online
@237online
![Logement au Cameroun: 10.000 logements en vue d’ici 2011 Sur le site de la cité des cadres au quartier Ahala à Yaoundé, 700 logements de standings divers sont déjà sortis de terre. L’on compte 23 villas plain-pied, 10 duplex de première génération, 11 de deuxième génération, 40 villas de type économiques et d’autres résidences de haut standing. Les maisons qui comptent pour la plupart trois ou quatre, ont cependant des prix inaccessibles pour les bourses locales. «Nous avons construit cette cité des cadres pour les camerounais de la diaspora, cela pour leur éviter toutes sortes de désagréments avec les vendeurs de terrain et des conflits avec les gens à qui ils confient souvent des sommes importantes afin de conduire les travaux de leurs maisons ici au pays. Donc ici, ils ont la maison, le terrain la sécurité, l’eau et l’électricité déjà prêts», explique Fulbert Ndoe, gérant statutaire de la société Soprin lors de la visite de chantier organisé jeudi dernier en présence du délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé Gilbert Tsimi Evouna. Réagissant aux critiques sur le coût élevé des maisons dont les prix sont compris entre 25 millions de Fcfa et 172 millions de Fcfa, le gérant a indiqué que la cité de Nkongoa sur la route de Mfou, répondra aux réalités du pouvoir d’achat des populations. «C’est à Nkongoa que nous allons lancer le projet de 10 000 logements sociaux en 2011 ; là-bas le prix des maisons sera compris entre 12 et 24 millions de Fcfa», souligne-t-il.](//media.paperblog.fr/i/364/3641040/logement-cameroun-10000-logements-vue-dici-20-L-1.jpeg)
Sur le site de la cité des cadres au quartier Ahala à Yaoundé, 700 logements de standings divers sont déjà sortis de terre. L'on compte 23 villas plain-pied, 10 duplex de première génération, 11 de deuxième génération, 40 villas de type économiques et d'autres résidences de haut standing. Les maisons qui comptent pour la plupart trois ou quatre, ont cependant des prix inaccessibles pour les bourses locales. «Nous avons construit cette cité des cadres pour les camerounais de la diaspora, cela pour leur éviter
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