La France perd de sa superbe, les critiques viennent du monde entier vis à vis de la politique menée par ses gouvernants.
Jamais par le passé, depuis Napoléon III, on a vu une telle mobilisation envers le pays des droits de l’homme, jamais les critiques n’avaient été aussi vives pour condamner l’hexagone et sa politique.
Que ce soit des pays amis, l’ONU,la commission européenne ou autres, chacun y va de son opprobre.
Des affaires qui se multiplient :
Woert - Bettancourt,
La légion d’honneur,
Les Roms,
La déchéance de nationalité.
Mais aussi :
Les retraites,
Erosion de la Sécurité Sociale (hausse de forfait, déremboursements, moindre remboursement…)
Le Parlement pas assez respecté,
Les sources journalistiques misent en causes par l’imbroglio du Monde.
Mais encore :
Un jet privé pour un rendez-vous,
Des cigares sur notre argent,
Un nouvel avion présidentiel en temps de crise.
Sans oublier :
Clearstream, un duo en duel,
Les insultes de gauche comme de droite,
Sarkozy qui nie un accrochage avec Barroso alors que des témoins le confirme,
Sarkozy qui dit que Merkel lui a dit certaines choses, qu’elle nie avoir dit.
…
Si on rajoute :
L’équipe de France de foot en Afrique du Sud qui a donné une image de foutoir,
Le frein conservateur vis à vis des gays, qui met notre pays à la traîne des évolutions,
Un député qui dit que le Luxembourg ne devrait pas exister.
Quelques questions :
On dit qu’il faut faire la guerre aux niches fiscales, mais 600 millions d’euros remboursé en bouclier fiscal, n’est-ce pas une niche déguisée ?
La réforme des collectivités adoptée rapidement dans la semaine, sans réel débat, n’est-ce pas ignorer la parlement ?
L’absence des socialistes pendant une semaine en bouderie à l’Assemblée suite à la réforme des retraites, n’est-ce pas une échappatoire ?
La circulaire nommant les Roms, n’est-ce pas une erreur de gestion ?
Nos politiques disent :
Ce n'est pas la rue qui gouverne.
Ah bon, mais qui aiment ils pour être élus … les citoyens de la rue qui leurs donnent le pouvoir !
* * *
La gauche crie contre la droite,
la droite crie contre la gauche,
le centre murmure contre les deux,
mais l’ensemble des citoyens de gauche, de droite, du centre sont les dindons de la farce … si on peut appeler tout ça une … farce !
Le tout donne une vision de déliquescence qui enfonce notre « orgueil » sous la tourbe et assombrie le multicolore de l'hexagone.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble