Chacun fait face aux incertitudes des affaires, et il est difficile d'avoir une opinion parfaite. Personne n'a de boule de cristal. On ne fait juste que des suggestions de scenarii, de solutions, d'alternatives.
L'engagement part beaucoup du style de leadership et des interactions successives. Et l'apprentissage du leadership devrait prendre une place plus large. Une personne a beau sortir de l'une des meilleures "business school", se positionner comme excellent gestionnaire. Cependant, il est dommage si son attitude et sa vision ne vont pas dans le sens de l'humilité et de la reconnaissance.
Les valeurs humaines priment. Ecouter devient un atout distinctif et gagnant pour mieux agir, servir les parties prenantes (en saisissant les multiples contraintes).
Le retour sur reconnaissance (ROR) est un indicateur de plus et essentiel.
De "I'm the boss !", on passerait au "A votre service :-)". Julien Martel part de ce principe-ci via un article intitulé "Evaluer son boss", et l'instauration d'un vrai dialogue. C'est aussi l'occasion de se rapprocher de ses collaborateurs pour mieux les connaitre et rester connectés L'exigence existe dans les deux sens.
L'autorité se gagne, et sur le long terme. Dans un contexte d'embellie progressive de l'économie, les résultats/conséquences du style de leadership et de la stratégie d'engagement (si existante) se feront sentir.
I'm the boss! from dalas verdugo on Vimeo.