Cette rubrique suit l’actualité éditoriale et présente les derniers ouvrages reçus par Poezibao. Il ne s’agit pas de fiches de lecture ou de notes critiques et les présentations font souvent appel aux informations fournies par les éditeurs.
°Bernard Chambaz, Été II, Flammarion
°Revue Conférence, n° 30-31, printemps-automne 2010
°Oswald de Andrade, Bois Brésil, Éditions de la Différence
°Guennadi Gor, Blocus, Circé
°Pierre-Alain Tâche, la Voie verte, Éditions de la revue Conférence
°Pascal Riou, Sur la terre, Éditions de la revue Conférence
°Loïc Herry, Crise de manque, Dumerchez
°Piero Calamandrei, Inventaire d’une maison de campagne, Éditions de la revue Conférence
°Jacques Izoard, Osmose perpétuelle, Atelier de l’Agneau
°François Debluë, De la mort prochaine, Éditions de la revue Conférence
°Jean-Claude Walter, Carnets du jour et de la nuit, Arfuyen
°Revue Action poétique, n° 210
°Moncef Ghachem, Mugelières, Apogée
°Revue Le Bateau Fantôme, n° 9
°Revue Conférence, n° 29
°Jean-Pierre Lemaire, Poemas, Lumme Editor
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•Bernard Chambaz
Été II
Flammarion, 2010
19,50 €
En 1999, Bernard Chambaz a fait le pari d'écrire au fil de la première décennie du XXIe siècle un long poème en dix chants, un par an, qui brasserait la matière d'une vie dans ses diverses strates, et qui serait aussi une sorte de réponse au drame qui l’a définitivement marqué : la perte d’un fils adolescent. Les cinq premiers chants, parus en 2005, frappaient par leur tragique allégresse et charriaient en un long fleuve tumultueux l’or et la boue d’un poème brusquement réinventé, comme la langue française ne nous en avait plus offert depuis longtemps. Cette épopée contemporaine était aussi un art poétique, faisant écho à Cendrars et aux grands bardes américains : Pound, Williams, Olson... Ce nouveau volume prolonge et clôt ce projet démesuré, avec des chants ayant une tonalité plus mélancolique et plus apaisée. Qu’ils suivent le cours de la Volga ou des cols italiens, les ombres de Khlebnikov ou de Pétrarque, ils continuent pourtant de dire le drame immobile et la beauté fuyante de la vie – ses miracles infimes, ses illuminations fugaces, dans les méandres de l’Histoire et de la ″vie courante″ - précipitée vers quoi ? (Prière d’insérer et dos du livre)
•Revue Conférence
n° 30-31, printemps-automne 2010
30 €
Au sommaire de ce numéro, des textes de Julien Varia, Pierre Chappuis, Cathy Jurado-Lécina, Nicolas Idier, Franck Laurent, Mathieu Nus, Claude Louis-Combet, Jérôme Peignot, François Debluë, des études et essais de Eric Dumaître, Louis H. Sullivan, Olivier Rey, Muzma Shihabi et des traductions de Borges, Merwin, Stevenson, Jünger, Quasimodo, Canetti, De Pisis, Calamandrei, Mraskova. A noter aussi un inédit d’Etienne Gilson, « Le labyrinthe de la peinture » et des gravures d Jean-Nazelle et de David Maes.
•Oswald de Andrade
Bois Brésil
Poésie et manifeste
Traduit du portugais (Brésil), préfacé et annoté par Antoine Chareyre
Édition bilingue
Éditions de la Différence, 2010
30 €
Au cœur du modernisme des années 20, la poésie de Pau Brasil (le bois brésil, cet arbre dont l’écorce contient un colorant rouge-orange très prisé par les Portugais, fut au XVIe siècle, le seul produit d’exportation de la colonie, jusqu’à lui donner son nom) est née à Paris. Introduit dans l’avant-garde littéraire et artistique parisienne par Blaise Cendrars, Oswald de Andrade rencontre à la librairie d’Adrienne Monnier, Valery Larbaud, Jean Cocteau, Paul Morand, Picasso… avant de rejoindre le Brésil, où il publiera en 1924, à son retour d’Europe, le Manifeste de poésie Bois Brésil ainsi que plusieurs poèmes du présent recueil qui deviendront l’emblème même de l’indépendance esthétique du pays après un siècle d’indépendance politique.
Oswald de Andrade, poète, romancier, dramaturge, essayiste et polémiste brésilien, est né en 1890 à Sao Paulo et mort dans cette même ville en 1954. Il est l’un des principaux fondateurs du modernisme brésilien avec l’écrivain, poète et critique Mario de Andrade, le poète Menotti del Picchia, le compositeur Heitor Villa-Lobos et les peintres Anita Malfatti et Tarsila do Amaral.
Antoine Chareyre est professeur agrégé de lettres modernes et universitaire. Il s’intéresse aux avant-gardes des années 1910 et 1920 et depuis 2007 a formé le projet d’œuvrer à une meilleure connaissance et considération du modernisme brésilien en France.
•Guennadi Gor
Blocus
Traduit du russe et présenté par Henri Abril
Circé, 2010
21,50 €
« La Russie, a dit Andrej Bitow, une fois, à propos de son pays natal, est le pays où Kafka devient réalité. Et là où la réalité déforme les destinées des hommes, on peut réellement éprouver la démolition cubiste. L’écrivain Guennadi Gor (1907-1981), qui a souffert du blocus de Leningrad de 1941 à 1944 et l’a relaté en vers, était hanté à l’époque par les fantômes d’Hitler, de Gogol et de Goya, ainsi que par des parties de corps indépendantes.
Dans la forme d’expression fluidifiée de la poésie, Gor retrouve l’horreur du siège. Il conjure le cannibalisme poussé par la faim dans le poème « ne mangez pas ma jambe », qui traverse l’anatomie avec des rimes croisées et des amphibraques comme une formule magique désespérée. Les vers libres des hôtes, que « belle-mère » la mort vient chercher après le banquet de rôti de chat, décrivent les transports hivernaux de cadavres comme des scènes fantomatiques de contes de fées. Le genre du poème serait en fait « trop beau » pour s’épancher, selon Gor, et par là un peu embarrassant. Toutefois, contrairement aux rapports documentaires sur l’enfer du froid et de la faim, ses vers ont l’avantage d’avoir cette subjectivité qui constitue à la fois la culture et l’humanité.
Quand l’homme meurt, seule la tête peut encore ressentir en dernier lieu. Pouchkine, le poète adoré des Dieux, ne parvient toutefois pas à prononcer le moindre mot devant la milicienne soviétique. Tasso ouvre la bouche en silence. Et Ovide rêve en frissonnant de petits pains. Là où la fréquence humaine faillit, la langue rentre chez elle, dans l’eau, dans la pierre et dans le silence des nomades.
Guennadi Gor puise aux meilleures sources de la poésie russe, depuis le folklore et Khlebnikov jusqu’à Mandestam et Zabolotski, sans oublier Daniil Harms et Oleinikov, pour accéder à un laconimse dénue de toute l’emphase propre au ″classicisme″ soviétique. » (Site de l’éditeur et dos du livre)
•Pierre-Alain Tâche
La Voie verte
Un volume de 104 pages imprimé par Darantiere à Dijon sur Fabriano vergé 85 g.. Jaquette typographique imprimée par l’Imprimerie nationale sur Fabriano vergé 90 g.
Éditions de la revue Conférence
23 €
« La Voie verte se signale par deux qualités essentielles : d’une part, sous la guise volontiers ironique et distanciée, la profondeur et l’exigence de l’expérience du monde et des lieux qu’il traduit ; d’autre part, la virtuosité formelle, cette sorte de sourire flottant sur les possibilités mêmes de la poésie. L’humour et la distance, ici, ont valeur d’élégance, et la réduction volontaire des plus vastes visées métaphysiques à l’horizon d’un marcheur ou d’un cycliste demeure l’hommage à la vérité qui nous échoit, et comme la signature d’une voie exacte et libre tracée dans le paysage ; il suffit que l’expérience ordinaire invente les mots de l’expérience juste, et s’approfondisse pour le lecteur à proportion de cette invention.
Je n’ai pas prétention de savoir
ce qu’est la voie ; et moins encore où elle va :
c’est elle qui conduit la quête, et qui la suit
fait abandon de tout désir qui lui soit étranger. »
•Pascal Riou
Sur la terre
Un volume de 96 pages imprimé par Darantiere à Dijon sur Fabriano vergé 85 g. Couverture en bichromie sur Vergé de Rives 250 g.
Éditions de la revue Conférence, 2010
21 €
« La poésie de Pascal Riou s’attache à une entreprise de considération : l’attention aux émotions et aux affects entend ne se séparer à aucun moment de celle que l’on doit à la matière du monde et des événements qui le traversent. En sorte que la puissance de l’énonciation a pour but de manifester et comme d’étreindre la substance du donné, et de qualifier l’expérience du temps qui s’y poursuit. Sur la terre porte plus avant le mouvement amorcé dans les précédents recueils de l’auteur : alternance entre longs poèmes n’hésitant pas à aborder des dimensions politiques et poèmes brefs plus dévolus à l’intime. L’ensemble se déploie dans une langue où se mêlent force et douceur, en un travail rythmique attentif aux richesses de l’alexandrin et aux variations qu’elles permettent. » (site de l’éditeur)
Je cherche ce qui demeure,
le moyeu de la route, le lit du fleuve
la paix qui n’est pas du monde.
•Loïc Herry
Crise de manque
Dumerchez, 2010
17 €
« ... Voici Crise de manque. C’est écrit d’abord à partir de toi, du manque de toi, et dans la constance de la présence. Plusieurs passages concernant ″le bout du monde″ n’auront de sens que pour toi et moi.
Mais le manque, là-dedans, désigne aussi le lieu de la poésie dans la société contemporaine : nulle part. C’est pour cela que la dernière partie tourne autour d’Antigone, celle qui dit ce que les autres ne veulent pas entendre ; c’est pour cela aussi que les versets sont entrcoupés d’annonces publicitaies et de slogans divers ; au manque répond le trop-plein : fracas permanent des ″informations″ vides de sens, recouvrements successifs de strates de paroles qui cessent d’être de la parole pour n’être plus que du bruit (c’est ce que j’appelais la ″rumeur″). » (Extrait d’une lettre de Loïc Herry à Christel, 1994, dos du livre)
•Piero Calamandrei
Inventaire d’une maison de campagne
Traduit de l’italien et préfacé par Christophe Carraud.
Imprimé en deux couleurs sur Fabriano vergé 85 g, format 16 x 22,5 cm ; vignettes de Pietro Parigi. 320 pages.
Éditions de la revue Conférence, 2009
30 €
Piero Calamandrei (1889-1956) est l’une des plus grandes figures de l’Italie contemporaine. Grand juriste, antifasciste de la première heure, pivot essentiel de la réflexion politique de l’après-guerre, il laisse aussi, avec l’Inventaire d’une maison de campagne (1941), une œuvre littéraire où se savoure la fine pointe de l’élégance Toscane. Cette manière d’autobiographie est plus qu’un merveilleux livre de souvenirs d’enfance ; sous l’émotion contenue, ce voyage à travers le paysage toscan de villages où, enfant, l’auteur passait l’été, donne à la réflexion sur le sens de l’histoire et la responsabilité qu’elle exige sa mesure la plus intimement vécue. (site de l’éditeur)
•Jacques Izoard
Osmose perpétuelle
Entretiens
Préface et notes de Françoise Favretto
Atelier de l’Agneau, 2010
80 pages, 14 €
Jacques Izoard (1936-2008), poète dans sa ville, a laissé des entretiens. Trois des quatre publiés ici sont inédits et s’échelonnent entre 1984 et 2005. Émile Kesteman, Rose-Marie François, Michel Valprémy, Françoise Favretto, Joseph Orban interrogent l’auteur que ce soit dans un lieu de poésie à Bruxelles, dans la rue à Bordeaux, dans son bureau de la rue Chevaufosse ou dans son jardin. L’un de ces entretiens porte sur une étonnante rencontre, à 24 ans, avec L.F. Céline.
•François Debluë
De la mort prochaine
Un volume de 144 pages imprimé par Darantiere à Dijon sur Fabriano vergé 85 g.
Éditions de la revue Conférence, 2010
25 €
De la mort prochaine, en deux guises successives définies par le choix de leur énonciation, « Proses de la mort prochaine » et « poèmes de la mort prochaine », propose une méditation élégante et simple sur une évidence bien difficile à définir… Prose et poésie dont l’intensité est toujours contenue, et le caractère dramatique et parfois tragique offert sous des espèces où « rien ne pèse ni ne pose » ; écriture à la fois limpide et saturée, qui vise à donner, à exprimer le plus avec la discrétion, le retrait de la litote : par quoi il s’agit, tout autant que d’une leçon de poésie, d’un leçon de vie, d’une leçon éthique, faite de l’évidence d’une allure qui n’impose rien à autrui et ne lui offre que la douceur de qui revient des combats intérieurs les plus acharnés. Bref, une poésie sans faux-semblants, qui a passé le cap des mirages et des manifestes, pour présenter simplement une fervente méditation sur la vie que l’humour sait traverser. (site de l’éditeur)
Mourir, de temps en temps, me ferait peut-être du bien.
Au seuil de la mort, petit, tout petit, le nombre des mots qui comptent encore ; le nombre de ceux qui pourraient être prononcés, murmurés, et qui pourraient aider à franchir le pas.
Face au vent
je marchais
face au vent
par tourbillons et tourments
continuais de chercher
•Jean-Claude Walter
Carnets du jour et de la nuit
Éditions Arfuyen, 2010
16 €
Après Chemins de ronde (2004), ces Carnets du jour et de la nuit sont le deuxième livre de Jean-Claude Walter aux Éditions Arfuyen. Comme pour les Chemins de ronde, il ne s'agit ici ni d'un recueil de poèmes en prose ni d'un journal de bord, mais d'un ensemble de textes singuliers, sans cesse passant de l’observation à la rêverie, de l’humour et l’ironie à la méditation la plus mélancolique sur notre destin d’hommes. Qu’on lise les titres des huit parties qui articulent le livre, on y trouvera déjà cet esprit narquois, tout à la fois légèrement provocateur et d’une poignante gravité : « Creuse le ciel, collègue»; « J’habite à l’intérieur d’un songe » ; « L’enfance, ce visage immobile » ; « De nuit je me jette dans le gouffre » ; « Écrire, c’est vivre à l’envers » ; « Sur le fil de l’exil » ; « Ne sommes-nous pas les enfants d’une île ? » ; « Envois ».
Écrire s’est se jeter dans le gouffre. Il ne faut pas en avoir peur. Au contraire, en devenir familier. Il n’y a pas d’autre choix. Car on ne choisit pas d’écrire. Qui pourrait faire un tel choix ? C’est la pire des choses. Un exil. Un songe. Un tombeau. Et cependant il faut faire avec. Quand l’écriture vous tient, il n’y a qu’à s’y soumettre.
Comme un animal domestique qui vous rend de jour en jour, insidieusement, son esclave. « Je leur disais combien son attitude, à elle seule, pouvait me surprendre. Sa façon, toute en douceur, d’évaluer et de s’approprier l’espace. Ses gestes mesurés. La maîtrise de son expression – port de tête, lèvres serrées, regard. Ce regard venu de plus loin que nos simples questions, incertitudes. Ses yeux qui allaient au tréfonds, nous interrogeant. Ses gestes ouverts, accueillants. Son corps lui-même, une fois immobile : un roc, une jetée, une barre d’arrimage. Et cette élégance naturelle, rien que dans le maintien. Pas besoin de mots, de paroles, d’arguments… Une présence. Une force. Une certitude. »
De qui s’agit-il ? « Je peux vous dire que j’envie son sang-froid, sa maîtrise de lui-même. Sensible à nos doutes, notre interrogation, il n’exprime aucune impatience. Il a cette clairvoyance, cette sagesse infuse qui n’appartient qu’aux brahmanes, aux bonzes de l’Inde antique. Un vrai gourou, encore que je méfie de ce mot… » Quel est ce maître ? L’écriture ? Non, un chien. Vivre n’est pas très intelligent. Un chat ou un oiseau font cela mieux que nous. Bien plus de concentration. Vivre est une sottise, écrire est pire encore : « Écrire, c’est vivre à l’envers. » Pourquoi écrit-on ? Parce qu’un jour on a un peu trop cru à un conte de fées : « De l’influence d’un conte, d’une légende lue ou racontée, sur l’imaginaire d’un enfant. Depuis, il cherche sans relâche son ‘‘Sésame ouvre-toi !’’ ». (site de l’éditeur)
•Revue Action poétique
n° 201
Cinéma et poésie
septembre 2010
13,5 €
Au sommaire de ce numéro dédié au thème cinéma et poésie, notamment Sarah Riggs, Abigail Child, Adrienne Rich, Patric Chiha, Pierre Alféri, Peter Gizzi, Erik Bullot, Jérôme Game, Liliane Giraudon Akram Zaatari, Róza Domascyna, Hasmik Simonian, Joseph Julien Guglielmi, Olivier Domerg, Carole Darricarrère.
•Moncef Ghachem
Mugelières
Éditions Apogée, 2010
15 €
parution le 20 septembre
« Belle bouffée d’oxygène que ce témoignage de Moncef Ghachem qui nous permet de recouvrer les brises et meltem d’une époque où les pêcheurs étaient des êtres ″chevronnés... authentiques et compétents″ »
(Alain Jégou, dos du livre)
Moncef Ghachem est né à Mahdia en Tunisie en 1946 dans une famille de pêcheurs. Son œuvre est intimement liée à la mer.
•Revue Le Bateau Fantôme
n° 9, 2010
L’Amour
13 €
Sur le thème de l’amour, des textes d’Yves Bonnefoy, Pierre Dhainaut, Jean-Pierre Lemaire, Judith Chavanne, Jean Maison, Bernadette Engel-Roux, Mathieu Hilfiger, Isabelle Raviolo, Gérard Bocholier, Béatrice Bonhomme, Jean-Marc Sourdillon, Myriam Eck. Et aussi « L’utopie du poème amoureux », par Claire Leforestier, « Gibran et Rilke » par Bénédicte Letellier, Ovide, par Christine Kossaifi et Verlaine par Laetitia Reibaud.
•Revue Conférence
n° 29, automne 2009
30 €
Sommaire de ce numéro
L’homme empêché, 1 : la jeunesse.
Lettre à son fils Franco. (Trad. Laure Rivory et Estelle Ceccarini.) Piero Calamandrei.
Le culte de l’enfance. (Trad. Véronique Betbeder.) George Boas.
Joyeux étudiants . Cyrille Blandin de Chalain.
Le surmoi n’a jamais été aussi jeune. Olivier Rey.
Jeunesse. (Trad. Christophe Carraud.) Ruth Gentili.
Entretien avec René Major. Jean-Luc Evard.
L’impératif généalogique. Daniel Pendanx.
Le mixage des âges. Georges Sebbag.
Cahier.
Suite de l’hiver andalou. Georges Soleilhet.
Miroirs du double. Sri Lanka, 2005 (II). 8 photographies de Marc Blanchet, précédé de Le corbeau et la cueilleuse de thé, par Olivier Remaud.
En paix maintenant repose. Pascal Riou.
Altitudes (III). Gilbert Beaune.
Poèmes. Gilbert Houël.
Lyrisme et dissonance (III). François Debluë.
Les glacis invisibles. Pierre Lecœur.
Chemins et routes (III). Claude Dourguin.
Habitations. Alain Bernaud.
O crux ave, spes unica. Claude Louis-Combet.
Essais et documents.
Entretien avec Pierre-Yves Gabioud. Isabelle Carceles.
Figure et temporalité. Daniela Battini.
Vers l’intégration de l’histoire de l’art à la scolarité : la fin de l’exception française. Jean-Miguel Pire.
Richard Descoings : le lycée, fin de partie. Patrick Guyon.
L’anti-européanisme des Américains. (Trad. Christophe Carraud.) Giovanni Borgognone.
Occident. Walter Siti & alii.
Sylvia Elharar-Lemberg, Voies.
Hommage à Piero Calamandrei.
Le langage de la liberté. (Trad. Christophe Carraud.) Jana Mrazkova.
Inventaire d’une maison de campagne (extraits). (Trad. Christophe Carraud.)
Ville en rêve. (Trad. Christophe Carraud.)
Traductions.
Grégoire de Nysse, Sur la divinité du Fils et de l’esprit et sur Abraham. Trad. Mathieu Cassin.
Salvatore Quasimodo, La lyre grecque (II). Trad. Patrick Reumaux.
Lewis Mumford, Lettres à des Allemands (II) Trad. Charlotte Audiard.
Eugen Rosenstock-Huessy, Le secret de l’Université. Trad. Jean-Luc Evard.
Eric Voegelin, La raison : l’expérience classique. Trad. Dominique Weber.
Inédits.
Vers et prose. Étienne Gilson.
•Jean-Pierre Lemaire
Poemas
Traduçao de Julio Castañón Guimarães
édition bilingüe
Lumme Editor, 2010
Une collection d’une vingtaine de poème de Jean-Pierre Lemaire (né en 1948) traduit en portugais.