Pourquoi ? Coupe du Monde, « épisodes sécuritaires », Roms, mais aussi spectacle anarchique du gréviste dans la rue (pays non réformable).
Les forces de gauche pourraient avoir tort de croire que la nouvelle est mauvaise pour le gouvernement.
- Le pays n’est jamais aussi uni derrière ses dirigeants que lorsqu’il est attaqué.
- Il peut en vouloir à l’opposition d'être un fauteur, et une caisse de résonance, de troubles : elle organise des grèves, elle fait une publicité internationale tonitruante aux agissements qu’elle désapprouve. (Qui, la première, a associé notre « politique sécuritaire » au nazisme ?)
Compléments :