LUI est agréable, intelligent, viril (des poils plein le torse). VOUS très attirée et lui aussi. - Bref, votre rencontre semble parfaite. Pourtant... pas le moindre "crac-crac", il ne se passe rien. Votre "prétendant" bien sous tout rapport… ne montre aucun désir féroce. Il n’est ni malade, ni impuissant. Il est peut être en "panne de fonctionnement"?
La "panne de fonctionnement" est une réaction émotive exclusivement masculine. Dès qu’un homme ressent des inquiétudes en présence d’une femme qu’il juge trop belle pour lui, il peut développer une forme de peur, qui survient simultanément avec l’anticipation et la crainte de "passer à l’acte".
L’anticipation est un mécanisme de défense qui fait imaginer aux hommes le pire des scénarios… Pour le libérer de tout ça et le préparer mentalement à réagir: une seule SOLUTION contrecarrer l’anxiété… demandez-lui (l’air de rien) de parler de ses EX partenaires, d'évoquer le souvenir d’une nuit torride pour le RE-STIMULER... quelques câlins à l’appui (lui feront reprendre confiance en lui). Ne soyez pas avare de caresses, ni de petites allusions coquines si l’homme vous intéresse: l'idée est de faire saliver votre proie par anticipation, justement. C'est le moyen infaillible de déclencher chez l'homme le furieux besoin d'un contact tactile.
Être le meilleur est épuisant...Les performances en amour ne sont pas toujours celles que l’on croit. Il faut souvent aider l'homme à se concentrer sur son plaisir plutôt que sur sa performance. Créer une atmosphère, l'aider à se détendre. En effet, "IL" n'a pas à tout orchestrer. Il faut lui assurer, qu'il y a autre chose d'aussi important que le sexe dans votre relation. Lui faire sentir que vous vous occupez de lui comme il s'occupe de vous. Et, que la gymnastique de sommier n'est pas tout!
Le "repos du guerrier" prend souvent des accents de panique, voire de grande déception. On ne devrait jamais être à l’affût des performances de l’autre! … Un homme a le droit d’être tout simplement fatigué… Reste à lui donner l’envie de franchir la barrière…
Ingrid KLEIN