Information dévoilée par Les Échos (qui font payer pour ça, alors qu'ils ne font que reprendre une information du Sunday Times) et reprise par le Figaro (qui a payé pour voir, comme au poker) : Tony Blair, l’ex-premier ministre britannique a créé un fonds d’investissement. On apprend à l'occasion, que Tony, qui a le mérite de parler français, va sortir son autobiographie le 1er septembre. Une future cohue à la Fnac ! Retranscription de l'article du Figaro qui l'a piqué aux Échos qui l'ont piqué au Sunday Times et que je relaie sans débourser pécule :
Après la politique, le conseil géostratégique ou l’écriture, Tony Blair s’apprête à ajouter un nouveau métier à sa panoplie. Il a déposé auprès de l’autorité des marchés britannique les statuts d’une société de conseil en investissements.
Baptisée «Firerush Ventures No. 3 LP», celle-ci devrait exercer sous le nom de Tony Blair Associates et compte déjà six employés. Cette révélation fait polémique alors que l’ex-premier ministre britannique vient d’annoncer la donation à des œuvres de ses quelque 5 millions d’euros de droits d’auteur de son autobiographie à paraître le 1er septembre.
Selon un de ses proches, il ne s’agit aucunement d’une «banque pour les riches». Tony Blair aurait amassé une fortune de quelque 25 millions d’euros via ses diverses activités.
Tony Blair : un vrai lad, avec ses faux airs de Sid Vicious.
Tony Blair gagnera-t-il plus d'argent que Bill Clinton, amateur de cigare "humecté" qui facture ses interventions géopolitiques 250.000 euros (avec un tarif spécial pour Cuba) ? La suite de l'épisode dans quelques mois...