Avant même d’être rabotées, de nouvelles niches sont créées. Ainsi, est apparu cet été le compte d’épargne d’assurance pour la forêt, sorte de nouveau gadget permettant aux propriétaires de forêts ayant souscrit une assurance contre la tempête de placer en exonération d’impôt sur le revenu, sur un CEAF rémunéré au maximum à 2 % d’intérêt, jusqu’à 2 000 € par hectare de forêt assuré et 50 000 € au global. Au vu de la complexité pour le peu de rendement, on peut d’ores et déjà parier sur l’échec de la mesure…