C'est vrai, après tout, si on décidait de ne plus parler de lui : de son mépris pour les petites gens, de son admiration pour les riches, de sa violence verbale, de son absence de culture, de sa fourberie, de ses mensonges...
Parlerions-nous de politique ? Et comment en parlerions-nous ?
A travers les projets du PS ? Qui peut s'avancer avec certitude sur ce sujet ? A travers les propositions du NPA, de LO, du PG, ou encore celles du PC ? Mais si on regarde bien, tout cela est pauvre et s'inscrit le plus souvent en opposition aux actes et paroles de celui que je ne veux pas nommer...
Alors ? Se résigner ? Continuer à critiquer ce qu'on sait ne pas être juste ? Mais si l'on ne sait rien faire d'autre, rien proposer de plus concret, que se passera-t-il en 2012 ? Une majorité de Français votera pour celui qu'elle considère comme le moins mauvais...
A moins que nous ne soyons pris d'un sursaut audible et salvateur... Y'a du boulot, parce qu'aujourd'hui, c'est lui le plus fort !
Bon, il faut que je me ressaisisse, moi !