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Conférence de presse du DG!
N'avais-je pas fait de bonnes impressions auprès du Big Boss, mesdames et messieur? Eh oui... Ceci dit, il ou elle a fait de bonnes pressions sur le boss, Pierre Karl Péladeau.
Ce dernier m'a téléphonée, dimanche soir dernier, le 12 septembre, suite à la convocation à son bureau, ce lundi, fête du travail. Au sujet d'une collègue jalousant, méprisant mon privé. D'après la perception qu'il m'a laissée entendre, cela ne l'avait pas plu de s'excuser. Je n'étais donc plus en vacances. Je pouvais circuler librement.
C'est tout ce qui comptait pour moi. Le reste, la parution du magazine 7 jours, la page couverture, je devais l'oublier. C'est ce que le patron s'acharnait à me dire. Une erreur, une bévue... Non. Une bavure et quand une bavure fait partie de gros titres d'un journal, d'une revue, d'un magazine, il faut l'interpréter comme mineur, bénin. Ce sont des nouvelles à sensations! De quoi hausser les ventes de papeterie.
Lundi, trois jours après ce coup de feu dans ce resto bar Le-Coloc à Sainte-Rose, (Laval) on m'avait permise de rendre visite à la personne ayant été ciblée dans cette affaire encore louche.
Je me rendais, là, par devoir, par affaire, par l'envie de rebrousser chemin. Je déteste les endroits où la mort accidentelle ou maladive guette sa prochaine proie. Ce n'est pas l'odeur des médicaments, des traitements m'intimidant le plus. Ce sont les lectures sur chaque visage de ces personnes les croisant au passage.
Ce jour-là, Genny m'accompagnait. Étant libre pour quelques heures. Nous marchions dans le couloir, elle, derrière moi et le médecin, le soigneur, à ma droite. J'essayais de sourire, je souriais, trouvant quelque chose pour sourire et non sentir...
Je pensais à la cantine... l'heure qu'elle passerait sur l'étage...
Médecin - Le projectile n'a pas fait de dommage au coeur ni les poumons en souffrent. Par contre,...
snorounanne - Il en a partiellement perdu la mémoire?
Médecin - Comment vous le savez?
snorounanne - Simple déduction, docteur.
Médecin - (s'arrêtant tous les 3 devant la porte de chambre) Évitez toutes questions qui le perturberaient. Ne soyez ici que pour lui. Je vous laisse quinze minutes. Une infirmière viendra lu donner sa médication.
Geneviève Dubois - Peut-on savoir quelle question à éviter?
snorounanne - On lui parlera de la pluie et du beau temps, tout en gardant le sourire. Merci docteur. (il s'éloignait)
Geneviève Dubois - Je vais attendre dans le couloir.
snorounanne - Je n'entre pas si tu n'entres pas.
Geneviève Dubois - Je te dis que je vais attendre.
snorounanne - Ah ça y est, j'ai compris. Tu ne veux pas le voir dans cet état? Pour une première rencontre, c'est débile.
Geneviève Dubois - Mais oui, bon. Pas... Pas débile. J'aimerais mieux en d'autres circonstances beaucoup plus sympa. Je vais de ce côté, y a une salle d'attente.
snorounanne - (prenant une bonne respiration) Si au bout de 13 minutes et 18 secondes, je suis pas sortie. Appelle le 911.
Geneviève Dubois - (souriant) C'est toi la petite débile. Bon, vas-y.
J'y entrais... À la sensation que j'ai eue en mettant un pied devant l'autre, est-ce qu'il est sur son lit de mort? Bien oui, mesdames et messieurs, je n'ai que des stupides pensées dans cette tête quand la frousse me frimousse les mousses nerveuses de mon système.
snorounanne - (avançant et m'asseyant sur un fauteuil droit cloué sur le mur face au lit) Merde... Qu'est-ce que je vais lui dire? De quoi lui parlerais-je? Ce qui peut bien faire chaud ici... Pas pour rien que les malades sont si maigres... Dans les hôpitaux. La chaleur les tue.
Dédé - Et elle n'arrêtera donc jamais de se plaindre...
Il faisait dur pis pas à peu près
snorounanne - Tu m'écoutais? Tu ne dormais pas? Fainéant! (me levant et allant à son chevet) Comment tu te sens?
Dédé - Comme un homme qui a pas pris de douche depuis une semaine.
snorounanne - (se penchant vers lui et à voix basse) Je dois pas te poser de questions qui te perturberaient...
Dédé - (m'embrassant) Ciel! Tu es réelle?
snorounanne - (essuyant ma bouche) Espèce de malade! T'aurais pu perdre aussi ces maudites envies de pervers!
Dédé - C'est fou comme j'aime ça te mettre dans tous tes états. (riant)
snorounanne - C'est dégoûtant! Tu pourrais avoir un peu plus de respect, non? (réessuyant ma bouche)
Dédé - Si, je t'ai respectée. Je ne t'ai pas mise la langue dans ta bouche.
snorounanne - Ce qui faut pas entendre!
Dédé - Hé! Mais... Mais où tu vas?
snorounanne - Considérant que tu vas de mieux en mieux et que le médecin a dit que ta mémoire avait été à moitié fracturée, je conclus que mon acte de présence se termine à cette seconde. Et, et, et je conclus que le médecin a fait un très mauvais diagnotic sur toi. Appelle-moi quand tu seras sortie de cet enclos. (sortant de la chambre)
Dédé - Snorounanne? Hé ho! Reviens s'il te plaît. Je m'amusais... On va parler de la pluie et du beau temps et de... bien de cette EM...
snorounanne - (revenant quelques pas en arrière) De qui?
Dédé - Je sais qui c'est. Lundi... ce lundi après que tu sois allée dans le grand bureau du patron et que je t'ai ramenée chez toi, j'ai fait ma petite enquête personnelle.
snorounanne - Et?
Dédé - Et, il se révèle que EM est une chroniqueuse du magazine 7 jours. (cherchant des yeux) Quelle heure est-il au juste?
snorounanne - Une croqueuse... Mais parle, nom de Dieu! Que sais-tu d'autres sur elle que je ne sais déjà?
Dédé - J'ai feinté de ne plus me souvenir de certaines choses, snorounanne. Il y a de la corruption dans les réseaux.
snorounanne - (essayant de comprendre) C'est pas clair. Tu me parles en parabole, en code, Dédé. Explique-toi.
Sur son visage, j'ai perçu la lecture de ses traits. J'ai perçu en moi, des émissions électriques. Au sein de mon cerveau, une lenteur progressive s'y appréhendait.
Dédé - Il n'y a pas que dans les films que ces choses se passent, snorounanne. Et, tu le sais. Tu laisses entrer et voir ce qui ne peut être encore le signe. Et ce n'est pas non plus en les montrant à divers gens pressentis que c'est le temps.
snorounanne - Mais j'ignore le pourquoi! Et j'ignore le temps. Et, et, et pourquoi je les ai écrits! Et qu'est-ce ça va faire au monde?
Dédé - Calme-toi, ne t'emporte pas. Chaque chose en son temps.
snorounanne - J'ai déclenché des événements qui n'auraient pas dû avoir lieu, Dédé?
Dédé - Ne les montre pas pour simplement avoir un certain intérêt autour de toi. Ne le fais que si la personne s'annonce.
snorounanne - Et cette EM a quelque chose à voir dans ces événements?
Dédé - Non.
snorounanne - (le regardant inquiète) Celui qui t'a tiré dessus? (Il baissait de la tête)
Dédé - Ne laisse personne, sans autorisation, regarder le cartable rouge.
snorounanne - Je perds de vue tous ceux qui l'ont vu. Ça change quoi dans ma vie?
Dédé - Il s'agit de la leur, désormais. (m'apprêtant à franchir la porte) Evelyne Martin, 36 ans. Chroniqueuse au 7 jours depuis 7 mois. Elle a eu une aventure amoureuse avec le DG de Québécor et dont celle-ci en a eu avec...
snorounanne - Allez, dis. Avec qui?
Dédé - Avec... (balbutiant les mots) Geneviève, la policière. Ta copine...
snorounanne - La tache... c'est donc ça.
Dédé - Fini les vacances! Au boulot maintenant. File! Je te téléphonerai quand j'aurai reçu l'admission de prendre les portes des sorties.
snorounanne - Albert...
Dédé - Albert?
snorounanne - En était-il un? (ne lui donnant le temps de répondre, je quittais la pièce)
Comme si le monde était forcé de trahir, de tromper, de faire du tort, de déranger, de nuire, de déplaire et cela par la vengeance. Une graine, une semence de jalousie, de frustration germe en nous... Nous sommes dans cette époque où un petit rien nous incommode énormément et la justice ne s'en chargeant pas rapidement, c'est nous qui faisons nos propres règles, nos propres lois. Et nous en payons le prix.
Je passais ma tête dans l'embouchure de la salle d'attente et l'interpellais par son prénom. Elle levait la tête déposant une revue sur la table et marchait vers moi. Comment lui dire que je savais des choses sur son passé et était-ce un passé lointain ou un passé récent?
Son sourire, je ne pouvais pas le masquer par une autre tache qui n'était plus une tache. J'ai compris que le boss non seulement protégeait les siens mais il se protégeait. Je lui proposais de rentrer immédiatement à la maison. Il y avait trop de chuchotements dans cet établissement hospitalier.
Oui, des chuchotements venant dans ma tête. Mais pas tout à fait dans ma tête. Dans la réserve profonde entre le naturel et le surnaturel. Pendant le trajet entre l'hôpital et la maison, je lui parlais de l'ascension remarquable grandissant chez notre blessé, Dédé. Mais rien sur la discussion entre lui et moi. Nous étions arrivées à la maison.
Geneviève Dubois - (Passant le corridor et examinant chacune des pièces telle un enquêteur) C'est chouette chez toi. Plus qu'une chambre, c'est noté. (air moqueur)
snorounanne - Il y a 3 chambres dans ce palace. Une petite chambre sous haute surveillance. Une autre chambre moyenne pour au cas où et la mienne.
Geneviève Dubois - Sous haute surveillance? Qui veut dire? Tu reçois des prisonnières? (toujours avec un air moqueur)
snorounanne - Charlyne et Arianne, deux fillettes extrêmement à redouter.
Geneviève Dubois - Tes nièces?
snorounanne - (Allant à la cuisine, ouvrant le frigo et prenant le cartonné de lait) Arianne, ma petite nièce. (Lui pointant du doigt une photo sur le mur) Tu en veux? Je peux faire du café, si tu as le temps.
Geneviève Dubois - Elle est mignonne. Et l'autre? Qui ce serait?
snorounanne - La nièce de... Paella.
Geneviève Dubois - Paella, une amie. Ah oui! Ta partenaire de travail. Celle qui portait toutes les caméras. Tu... Tu n'as pas eu de nouvelles d'elle depuis? Un café serait bienvenu, merci.
snorounanne - (sortant le percolateur électrique et préparant le café) Si... On s'est revues.
Geneviève Dubois - Et... Elle va bien?
snorounanne - (remplissant le percolateur d'eau) Elle est amoureuse, elle va bien et son copain va bien. Tu as d'autres questions?
Geneviève Dubois - (regardant par la porte patio) Piscine creusée... Dommage qu'il fasse un peu frisquet malgré le soleil. L'eau est claire. Tu l'entretiens encore en cette période-ci de la saison?
snorounanne - (comptant mentalement la dose de café par cuillerée) Arrête s'il te plaît. Je me concentre. Je ne peux pas te répondre et doser le nombre de cuillères à café.
Geneviève Dubois - (se tirant une chaise à la table et s'y asseyant) Elle ne t'embêtera plus, snorounanne. Presque toute sa vie, elle l'a passée en troublant les gens qu'elle fréquentait à court terme. Homme, femme, pour elle, c'était un jeu, un plaisir de jouer à ces jeux et de faire du chantage par la suite.
snorounanne - Tu savais donc?
Geneviève Dubois - Je suis de la police, n'oublie pas.
snorounanne - (le nombre de cuillère était incorrecte) Merde de merde... j'en suis à combien?
Geneviève Dubois - 4 cuillerées, ma puce. Attends. laisse-moi faire. Sors les tasses, le lait, le sucre. (prenant les commandes) Je m'en occupe.
snorounanne - Merci, c'est gentil. (ouvrant l'armoire et sortant deux tasses) Genny?
Geneviève Dubois - Oui? À moi tu peux me parler, poser des questions, me demander de sortir les déchets, n'importe quoi. Je fais plusieurs choses à la fois et... Et même (s'approchant et m'embrassant tendrement)
snorounanne - (Après ce merveilleux baiser) Tu es lesbienne ou bisexuelle?
Geneviève Dubois - D'après toi?
snorounanne - Je suis sérieuse.
Geneviève Dubois - Ç'a de l'importance?
snorounanne - (Posant les tasses rudement sur le comptoir) J'aurais dû m'en douter.
Geneviève Dubois - Que je ne sois pas lesbienne? Ça fait une différence pour toi?
snorounanne - Une grande différence, oui!
Geneviève Dubois - Et comment sait-on qu'on peut être aux femmes et pas hommes ou savoir qu'on est au deux? T'as une réponse à cela?
snorounanne - On le vit, on le sent et on le sait.
Geneviève Dubois - Eh bien, toi, tu es une exception. Tu fais partie de ces femmes qui le savent depuis toujours. Et moi... Et moi, je pense que je me découvre. En somme, je le découvre plus avec toi. (branchant le percolateur à la prise murale)
snorounanne - (éclatant en larmes) J'ai eu peur de te perdre... Je croyais que... Que j'allais te perdre. Avec cette merde de magazine, cette putain de chroniqueuse!
Geneviève Dubois - J'ai un abonnement annuel au magazine 7 jours. Je l'ai apprise et j'ai contacté une source sûre. Elle ne m'aurait pas ruinée, cette garce et loin de là. (m'entourant de ses bras) Et monsieur Québécor ne nous séparera pas de si tôt. Ne sois plus triste. Tout est bien qui finit bien. Et pour anéantir cette tristesse. Je n'ai jamais eu de relation avec des hommes. Je les évitais. Et Evelyne Martin m'a initiée au plaisir... Charnelle. Et toi... Tu m'as fait sentir femme et... Snorounanne... Je t'aime.
J'aurais pu y passer des heures écoutant ses battements de coeur
Mardi matin autour de la fin de l'émission d'Humour se diffusait sur tous vos écrans de télé, mesdames et messieur. Eh oui, cela faisait un bout que l'émission courait...
À vos claviers, mesdames et messieurs et rejoignez D'Humour en lui écrivant!
snorounanne - On va faire ça brièvement car je sais que peu d'entre vous êtes flattés par le sport et soit dit en passant, le bon vieux CH, mesdames et messieurs, Les Canadiens de Montréal. Oui, notre sport national, notre emblème, le hockey. Peut-être un jour, au lieu du drapeau la fleur de Lys, aurons-nous la fierté d'avoir une effigie CH aux couleurs du tricolore hen?
- Hier, lundi... Une conférence de presse du directeur général, monsieur Gauthier annonçait les nouveautés de cette nouvelle équipe. Je les cherche encore ces nouveautés, ou cette attente, cette surprise qui nous surprendrait, mesdames et messieurs. Je vais vous en lire le parchemin de son contenu.
C'est lui, monsieur DG Gauthier
- Pierre Gauthier fait un premier point de presse interminable avec comme plus grande déclaration : il y aura un capitaine pour le premier match de l'année. Hip! Hip! Hourra! J'en suis toute énervée... Que de palpitations dans mon petit coeur. Je continue la lecture.
- Patient, généreux et souriant, Pierre Gauthier a lancé la saison 2010-2011 du Canadien avec une conférence de presse de 48 minutes. Il lui en aurait fallu deux minutes de plus pour égaliser un record guinnes, peut-être?
- Bombardé de questions en français et en anglais, le directeur général du Canadien a choisi la neutralité comme principale réponse. Du chinois, quoi?
- En matinée, une poignée de journalistes prédisaient l'annonce du prochain capitaine du Tricolore. Je suis bonne aussi dans les prédictions. Je prédis un C à l'envers sur Carey!
si si si! Un tout petit C!
« Il y aura un capitaine pour le premier match de l'année », a répondu Gauthier pour mettre fin aux spéculations. Dites pour faire taire les partisans, monsieur Gauthier...
« Il s'est créé un groupe de meneurs à la fin de la saison et il était encore plus fort durant les séries, a précisé le DG. Nous misons sur un groupe de meneurs, mais nous devrons en identifier un seul. » Ben oui... Pensez à Carey, y a le C marqué au fer rouge sur son... Pied...
Au début du mois de juillet, Gauthier avait déjà parlé du noyau fort de son équipe. Il a répété ce discours en cette première journée du camp des recrues.
« Il y a beaucoup de stabilité au sein de l'équipe avec le retour de 17 vétérans à Montréal, sans compter P.K. Subban. On connaît notre équipe beaucoup mieux que l'an dernier. »
« L'identité du Canadien est aussi mieux définie, a ajouté l'ancien des Sénateurs d'Ottawa et des Ducks d'Anaheim. Le Canadien se décrit par sa vitesse et son intelligence. »
À quelques jours du véritable camp, le CH forme-t-il une meilleure équipe que celle du parcours Cendrillon des séries?
« On veut continuer à s'améliorer, a dit Gauthier. On ne peut toutefois rien prédire, puisque ça dépend toujours des autres équipes. On reste très humble dans nos attentes. »
Price, plus mature. Il a lâché le biberon?
Implacable, Gauthier n'a pas dérogé de sa ligne de pensée, même en répondant à une question plus personnelle.
À la question suivante, il a offert cette réponse laconique.
« Vous avez pris une décision impopulaire en échangeant Jaroslav Halak et les partisans ont critiqué cette décision tout l'été. Comment avez-vous vécu cette situation? »
« L'été s'est déroulé très rapidement et nous avons surtout consacré nos efforts à la restructuration de l'équipe, de dire Gauthier. J'aime notre équipe. »
Au sujet de Price, le directeur général lui a redonné son vote de confiance. Ils en ont payé le gros prix!
« Nous aimons Carey à court, moyen et long terme. Les partisans aussi en témoigneront... De cet amour! Nous voyons un Carey plus mature et un joueur qui s'intègre très bien à notre groupe. » C'est sûr, lui aussi a pris conscience qu'y avait pu l'âge de téter et de brailler.
- Nous, on va aller téter quelques pauses commanditaires et on vous revient immédiatement après, avec vos courriels, mesdames et messieurs. À plus!
Trois minutes de pause... Et vous les avez épuisées comment?
snorounanne - Nous sommes de retour à l'antenne de "D'Humour" mesdames et messieurs. Le sujet de ce matin: La conférence de presse du directeur général, monsieur Pierre Gauthier. Et voici quelques courriels de nos fiers allures et partisans du Tricolore.
- Bienvenue à: Vous l'avez dit! Voici un premier courriel de monsieur Jeanla qui écrit: m. gauthier 48 minutes pour ne rien dire. C'est aussi mon impression.
- Un autre courriel de Bertrand: Niaisage, stupidité, manque de respect!!!!!!alors que tous les fans attendent le debut de la saison pour vivre ----si possible---un peu d'euphorie, le canadien dirige l'equipe de facon terne;;rien pour nous emballer; on nous annonce les performances de price depuis 2 ans et ce n'est que deception et manque de professionnalisme;;le club est meilleur pour vendre des bebelles que de nous offrir du hockey spectacle de qualité...vivement la zapette!!!!! Je ne le vous fait pas écrire, monsieur Bertrand. Tout a été limpide.
- Un troisième courriel de Anfort: COMME ILS EN ONT L'HABITUDE CE CH N'A AUCUN RESPECT POUR SES PARTISANTS SEUL LES $$$$$$$$$$$$$$$ COMPTENT. ALLEZ LES QUETENOIS ACHETEZ EN DES ARTICLES PROMO ET ENRICHISSEZ LE CH. UNE EQUIPE RAPIDE ET INTELLIGENTE. RIDICULE CAR LE UP AND DOWN LE LONG DES BANDES, LA TOUPIE DANS LES COINS ET LE DISSIMULAGE DERRIERE LES BUTS NE PREND PAS BEAUCOUP D'INTELLIGENCE ET DE RAPIDITE D'AUTANT PLUS QUE LA MOITIEE DES EQUIPES SONT AUSSI SI NON PLUS INTELLIGENTE ET RAPIDE QUE LE CH. Je regrette, j'expose les textes sans correction grammaticale, accords, liaisons, ponctuations, etc, mesdames et messieurs.
- Un autre de monsieur Martin: Il y a longtemps que j'ai compris que les conférences de presse ne servent à autres choses qu'à satisfaire les médias. Que penserait-on du jugement de Pierre Gauthier s'il se présentait devant les médias en dévoilant ses plans pour améliorer l'équipe ou encore en discourrant librement sur les faiblesses de celles-ci.
Ceux qui. comme moi, ont vu neiger, se rappelleront que Sam Pollock que plusieurs qualifient du plus grand DG de se génération ne se perdait pas en explication devantr la presse. Je sais, c'était avant Internet, RDS, la radio sportive en continu les chaines spécialiées mais tout de même . Un peu de patience, les résultats se mesureront bientô en points au classement. Si le total est élevé et que Price livre la marchandise, Gauthier aura pris une bonne décision. Dans le cas contraire, on réclamerra sa tête. C'est une roue qui torune. Une quoi? En tout cas... il a certes voulu taper tourne.
- C'était vos commentaires sur les propos non avancés de monsieur Gauthier et de cette conférence du non urgence, de presse... Ça nous met l'eau à la bouche. On a bien hâte au début de la saison régulière. Je suis moi-même une bien bonne chialeuse encourangeante du Canadien de Montréal depuis 1987! Et je les regarde à la télé, à RDS, c'est mon rendez-vous enjoué!
- Je vous laisse le soin de regarder cette image, mesdames et messieurs. Une nouvelle équipe de hockey à Québec, botterait-il le derrière de nos Canadiens les flâneux et traîneux de bottines?
- Et si vous en avez le coeur, écrivez vos impressions mais ne perdez pas votre temps si c'est pour me charmer en bien ou en mal.
- Je n'ai que du temps de lecture. Je ne répondrai que si mon âme le sent. Sur ce, je vous souhaite de passer un beau mardi et une belle semaine et on se revoit bientôt. Bye bye!
L'amphithéâtre de l'équipe N comme dans Nordiques du Québec!
Mercredi, jour de congé de Genny. Elle m'avait invitée pour un souper chez ses parents. Vous savez lorsqu'il y a une proposition telle cette demande, c'est un bon signe entre nouveaux amoureux, nouvelles amoureuses. J'allais faire leur connaissance. Je le ferai, à mon tour, un moment donné.
Nous étions sur le palier, elle avait sonné à la porte, la porte s'ouvrait et mes yeux s'écarquillaient.
Une enfant... nom de Dieu!
Geneviève Dubois - Bonjour p'tite soeur, Karo. Je te présente snorounanne. La spécialiste des médias à la télé, les journaux, les revues.
Karo - (me regardant de haut en bas et regardant sa soeur) C'est elle, ta copine?
Geneviève Dubois - Oui. Pourquoi cet air-là?
Karo - On sait tous qu'elle n'aime pas les enfants. Maman, papa! Elles sont arrivées!
Mme Dubois (Au loin) Fais les rentrer, Karo!
Karo - On aura droit pour dessert à un shortcake aux fraises que papa a fait! Entrez.
snorounanne - (Près de l'oreille de Genny) Ma réputation est faite avec les gosses.
Geneviève Dubois - Vous deux allez bien vous entendre. (grand sourire) Allez viens, reste pas là. Et souris...
snorounanne - Sourire quand je stresse. Bon sang... (entrant)
Geneviève Dubois - Je te tiendrai la main, t'en fais pas. Hé?
snorounanne - Quoi?
Geneviève Dubois - Je t'aime. (et je souriais)
Moment final d'appuyer sur le bouton jouer de l'audio et d'écouter chanter Serena Ryder. Toujours sur youtube pour suivre leur clip, leur montage, si vous voulez aller plus loin que l'écoute. Elle fait ses marques. Et je vous la présente pareil.
Merci pour votre belle parution sur cette autre chronique, éditorial, histoire. Merci pour votre attention. Et rappelez-vous, sous cela, il y a des vérités. À bientôt! Bisous!