L’an dernier, la vie de Khader, 63 ans, a basculé lorsque fut diagnostiquée son insuffisance rénale.
Et les coupures quotidiennes de courant dans le département d’hémodialyse de l’hôpital Al-Shifa à Gaza ne font qu’aggraver son état de santé.
« Il y a souvent des coupures de courant alors que nous recevons le traitement », explique Khader. « Tous les appareils s’arrêtent tant que le générateur ne se met pas en route. Sans électricité, notre sang ne circule plus. J’ai donc un problème à chaque fois qu’il y a une coupure de courant. » (Lire la suite)
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