( Écrit sur Counting Crows -Colorblind- )
L'Âme grande comme l'Océan,
Dur comme le pavé d'une Muraille,
Grande et droite comme l'ancien Cèdre au fond du jardin,
Avec la juste souplesse nécessaire à la survie...
L'Âme téméraire, ou inconsciente,
Ne craignant rien depuis bien longtemps...
Ne redoutant de la mort que la blessure qu'elle infligerais aux proches,
Aux aimants de ses traverses...
Cette Âme, depuis longtemps solitaire au fin fond de son enveloppe charnelle,
Qui un matin, s'élève avec sa première crainte...
Sensation tellement oubliée qu'il en redeviens enfant,
Ce maudit grand loup Blanc...
L'Esprit, le Coeur, et le Corps,
Ne formant qu'un.
Pour que l'addition des 3,
Le Geste,
Sois toujours en accords avec ce qui l'entoure.
Ce matin, qui du Corps, du Coeur, ou de l'Esprit,
Est venue lâchement contesté et perturbé la Décision.
Qui est venue casser l'équilibre,
Pendant les dernières heures de sommeil...
Qui est venue afficher une crainte,
Au point que l'Adrénaline sorte l'enveloppe charnelle de son sommeil,
Et tire l'Âme aux tréfonds d'elle même,
Recroquevillée dans un coin, apeurée...
La décision est prise, elle en est la meilleure.
Mais les conséquences... toutes mûrement réfléchie,
Ne furent pas complète...
Et si l'autre Âme se perdait, pour allez sur la voie du semblable commun...
Cette crainte passeras. Elle trépasseras.
Et dans la patience, et dans l'endurance,
Le sentier sera arpenté.
Et à l'arrivée, enfin le Corps, le Coeur, et l'Esprit sauront.
Si celui au centre avait raison...
S-F(i)
e
m
p
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r.