(J’espère que vous aurez noté la pertinence du jeu-de-mots dans le titre…)
Non, Monsieur Chabrol, vous n’aurez pas ma demi-journée de RTT.
Giraudeau, Crémer et Corneau m’ont déjà fait le coup. En clamçant le ouikende, ils m’ont proprement foutu en l’air mon mardi matin, obligé que je fus de courir tôt à mon travail afin de préparer hommages, biographies et filmographies selon les règles de l’art.
Mais maintenant, y en a marre !
Pourtant je vous aimais bien, Monsieur Chabrol. En particulier pour cette merveille intitulée Que la bête meure. C’est d’ailleurs le titre que je voulais donner à cet article, mais d’odieux journaleux ont eu l’audace de me le piquer.
Alors là, non, trop c’est trop. En arrivant après Bruno Crémer, je n’ai même pas le bonheur enfantin de titrer « Claude Chabrol casse sa pipe ». Déjà fait. Alors vous comprendrez, Monsieur Chabrol, que je ne vous rendasse pas hommage sur ce blog.
Nan mais oh, faut pas me prendre pour un glaçon, non plus…