J'ai eu envie de lire ce roman de
Murakami depuis sa parution en décembre 2005 aux éditions Belfond, depuis en
fait la lecture du grand entretien que son auteur avait accordé à Clémence
Boulouque pour le numéro de janvier-février 2006 de Transfuge (du temps où
c'était encore le magazine de littérature étrangère). Bref, à
l'époque, je devais avoir d'autres livres à fouetter, car je ne l'ai finalement
acheté qu'à sa parution en poche, en juin dernier... pour ne l'ouvrir qu'hier :
comme quoi, le cheminement pour accéder à un livre à l'exclusion de tous les
autres peut être tortueux. Gageons qu'il en valait l'attente.