D’un coté, nous avons une musique imprégnée de douce folie (comme ce piano désaccordé) dans laquelle, telle une fanfare chaque son, comme un personnage entre, sort, semble jouer sa partition sans se soucier des autres instruments.
De l’autre, la voix d’Aaron Chapman fragile, tout aussi déstructurée que la musique, assure au titre sa continuité, sa profondeur, son émotion, une sage nostalgie très touchante.
A l’écoute après le break
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